La HAYE/R9/A. GUETMANSKI accuse F. NDONZI
Par Jacques PERMAL
– le 24/07/07
à 23h17
– Informations
http://www.damweb.nl/tho/index.php?page=games&p=9
http://66.218.71.231/language/translation/translatedPage.php?lp=ru_en&text=http%3a%2f%2fwww.shashki.com%2fArticle1770.html
A. GUETMANSKI accuse F. NDONZI d'avoir délibérément joué vite en ne situant pas bien ses pions sur les cases noires durant la fin de partie (6h00 de jeu !!).
Le GMI russe affirme que ce n'est pas la première fois que F. NDONZI use de ce stratagème.
Le joueur russe affirme que les joueurs africains -je cite- sont coutumiers de ce fait et aussi d'entente. Il se réfère à la partie "bizarre" entre F. NDONZI et J.M. NDJOFANG à CANNES 2007.
La traduction automatique n'est pas facile à lire car imparfaite.
Réponses
(8)
Par Jacques PERMAL
– le 24/07/07
à 23h53
http://66.218.71.231/language/translation/translatedPage.php?lp=ru_en&text=http%3a%2f%2fwww.shashki.com%2fArticle1772.html
www.shashki.com
A. GUETMANSKI revient sur cette fameuse partie d'AMSTERDAM 2005 (CDM masculin). Je vous laisse le soin de lire cette traduction imparfaite.
Mais l'essentiel est à la fin du texte : A. GUETMANSKI remarque la présence de N. SAMB parmi les spectateurs à DAKAR 2006 (CDM des nations,Ronde 1). Il se lève pour lui serrer la main. Le GMI sénégalais refuse poliment cette marque de politesse.
Attendons la version du GMI de DAKAR.
Par faustek
– le 25/07/07
à 15h15
Traduction libre
AVERTISSEMENT ET OBSERVATIONS
le texte traduit par ordinateur du russe en anglais est parfois incompréhensible. Il convient donc de considérer la traduction de la traduction avec beaucoup de prudence.
Pour la forme, il y a d’abord une courte introduction par la rédaction, ensuite vient le texte du GLI, puis suit un débat.
J’ai conservé autant que faire se peut le style et le ton de la lettre de Getmanski. A la fin, je donne un résumé des débats.
I- INTRODUCTION PAR LA REDACTION
Holland. Le GMI Aleksandr Getmanskiy a fait parvenir à la rédaction le présent article afin d’informer nos lecteurs des méthodes auxquelles recourent certains joueurs africains pour essayer de gagner.
II TEXTE
J’ACCUSE M. NDONZI D’ETRE DELOYAL
Dans le foot ball, quand un joueur recoure à des pratiques interdites, l’arbitre lui inflige un carton rouge. Au jeu de dames, en revanche, lorsque votre adversaire place systématiquement ses pièces dans les cases blanches, il ne s’expose à aucune sanction !
Ce fut le cas aujourd’hui dans ma partie contre le néo français Ndonzi lors de la dernière ronde du tournoi ’open de NL (NDT Open DNC la Haye).
Mes déclaration vous surprendront sans doute. Plusieurs d’entre vous ne pratiquez que le 64 cases et n’avez donc pas eu à rencontrer de joueurs africains en 100 cases.
Mais certaines choses irritent et Ndonzi n’a réussi à obtenir une remise contre moi qu’avec ce genre de pratique et un peu mon aide à la fin de la partie.
Le plus drôle dans cette affaire est que, en plus, Ndonzi m’a empêché de bien placer ses pieces, même lorsque j’avais le trait. Un incident de ce genre était déjà arrivé à la 7e ronde du fait de Ndonzi, contre le champion du monde Schwartsman. Cela fit scandale, mais, heureusement pour Ndonzi, tout rentra dans l’ordre.
Finalement, il fallu faire intervenir l’arbitre principal qui ordonnan à Ndonzi plusiieurs fois de placer ses pions dans les cases noirs. Le problème est que, pour une partie qui a duré près de six heures, l’arbitre ne pouvait pas rester à demeure à nous surveiller du coup, l’ex-camerounais remettait ça.
[….intraduisible]
En guise de carton rouge, il faudrait disqualifier Ndonzi et ne plus l’inviter à des tournois. Arbitres et organisateurs ne peuvent malheureusement pas recourir à des sanctions de peur d’être accusés de racisme !
D’ailleurs, puisqu’on parle de racisme, Ndonzi n’est pas le seul à se comporter de la sorte. Bassirou Ba fait pareil (par exemple au cours du tournoi de qualification de 1997). Mais, au moins, contrairement à Ndonzi, Bassirou avait tenu compte des injonctions du juge.
Et que dire du sénégalais Samb qui non seulement place des pions sur les cases blanches, effectue des prises incorrectes (trad. Incertaines) mais ose demander que lui soit adjugée une victoire à la pendule alors que j’avais déjà joué mon 51e temps. Ce dernier incident est survenu lors du championnat du monde 2005 lors duquel il m’a spolié d’un point, et allant jusqu’à revendiquer deux points.
Samb Durant la procedure d’appel accsa tout le monde de racisme (moi, l’arbitre principal, le représentant de la KNDB ainsi que celui de la FMJD). Ne craingnant pas d’en referrer au president du Sénégal.
Grâce à ce chantage, la Fédération africaine de jeu de dames et Samb réussirent à obtenir une decision favourable des arbitres et de la FMJD empêchant une défaite de Samb. […] Je reviendrai sur cela bientôt.
Chers amis, allons nous devoir encore céder à ces fables sur un prétendu racisme et accepter que nos partenaires noirs nous tiennent en quelque sorte par la barbichette ? Il est temps d’arrêter avec la complaisance et de montrer clairement du doigt ceux qui ne joue pas loyalement, comme Ndonzi ou Samb.
Sans doute, parmi les damistes noirs, on trouve des gens intègres, cultivés, instruits intelligents. C’est par exemple le cas du meilleur damiste africain actuel, Jean Marc Ndjofang.
Si l’on met de côté son étrange partie contre Ndonzi à l’open de Cannes en 2007, c’est quelqu’un qui mérite le respect de tous pour sa pratique honnête du jeu de dame.
GMI A. GUETMANSKI, le 21 juillet 2007
III RESUME DES DEBATS
Plusieurs lecteurs approuvent Guetmanski. L’un d’eux soutient qu’il a subi des désagréments pires dans une partie contre R. King qui aurait tenté d’enlever un pion du damier. D’autres se demandent si Ndonzi ne s’est pas comporté de la sorte pour énerver Guetmanski qui selon eux avait partie gagnée.
Une minorité de lecteurs est réservée. Un lecteur se montre sceptique en affirant qu’il n’a jamais rien lu qui corrobore les propos de Guetmanski. Un autre dit que l’on ne peut pas prendre à 100% les propos de Guetmanski pour argent comptant sans avoir eu connaissance de l’autre son de cloche.
Par pascal1jauffrit
– le 25/07/07
à 19h20
il est difficile de juger sans être témoin sur place .
Ceci dit , on peut toujours fabriquer des damiers avec seulement 50 cases. Il est tout à fait possible d'enlever les 50 cases inutiles .
Le jeu est identique .
Par SouleymaneK
– le 25/07/07
à 20h00
Il est costaud Pascal !! Géométrie dans l'espace ??? Ou bien ??
Pourtant tu n'as pas tort, c'est marrant, le jeu n'en reste pas moins identique. Mais qu'il serait petit notre grand damier !
Par Maps
– le 25/07/07
à 20h21
Bonjour,
Monsieur Guetmanski, à en juger par ce texte traduit du russe, est bien remonté contre les joueurs africains, Ndonzi particulièrement (la traduction, bien qu'aléatoire dans la forme, ne laisse aucun doute sur le fond).
J'ignore ce qu'il en est de ses accusations (qui me surprennent quand même beaucoup) envers Ndonzi que je ne connais que "d'assez loin", mais je puis témoigner pour ce qui est de Bass et Samb, qui me sont plus intimes.
Voici :
- Samb, pris par la pendule, peut être certes fièvreux dans le placement ou le déplacement de ses pièces, mais reste un joueur ab-so-lu-ment loyal, qui ne triche ja-mais. J'en sais quelque chose puisqu'il fut mon sparring-partner durant les années où il vivait encore au Sénégal. C'est un joueur qui a la gagne hargneuse, la défaite pénible, mais qui félicite toujours son tombeur.
- Bassirou Bâ, s'il est bien l'individu que nous dépeint monsieur Guetmanski, c'est qu'il aura beaucoup changer depuis… la semaine dernière, tant c'est un joueur qui est strictement à cheval sur les règles du parfait "gentleman damiste" ! C'est bien simple, Bassirou est carrément un Chevalier-damiste, qui met le jeu de dames avant et devant tout. Ce qui ne manque d'ailleurs pas de lui occasionner certains désagréments dans ses rapports avec des joueurs moins passionnés. Ceux qui l'ont beaucoup pratiqué savent de quoi je parle.
"nous ne pouvons témoigner que ce dont nous sommes instruits".
Voilà.
Ah ! pour ces histoires de racisme, pensez-vous que cela vaille la peine d'en parler entre Sportifs cérébraux ?
Hein ?
Mapenda Sène,
coach de l'équipe du SénégaL.
Par SouleymaneK
– le 25/07/07
à 20h48
Cette réaction confirme au moins un passage du texte en question :
[" Sans doute, parmi les damistes noirs, on trouve des gens intègres, cultivés, instruits intelligents." ]
Même si ce qui sous-tend une telle assertion est proprement scandaleux... J'entends le non-dit du texte de " Guetmanski".
Par ailleurs, NDONZI me disait juste après Cannes qu'il ne comprenait toujours pas la facilité avec laquelle il prend très souvent l'avantage contre Guestmanski; et qu'au tournoi de Cannes, au moment où il joue 36-31, 37-31 carrément à la fin lui aurait donné le gain. Bref, il a semblé dire que GUESTMANSKI souffrait toujours contre lui. Pourquoi ? Allez voir leurs parties.
On remarquera simplement que les joueurs incriminés par GUETMANSKI sont en même temps connus ou très connus comme de très forts joueurs en parties rapides : SAMB et NDONZI. BASSIROU BA est un ancien très fort joueur de compter-compter. J'imagine qu' en phase critique il peut leur arriver de ne même pas se soucier de bien placer les pions dans les cases. A qui cela n'arrive-t-il pas dans cette phase si spéciale durant une partie de dames ?
Certes, il ne faut pas que cela soit un prétexte à faire de l'anti jeu. Par exemple, jouer sur les nerfs de l'adversaire, grignoter sur son temps, quand il se met à bien placer la pièce mal jouée, etc.
Pour ce qui est de NDONZI, je crois qu'il traumatise GUETMANSKI... Pour ce qui est des autres, je ne sais pas ce qu'il en est exactement !
Par LucCrevat
– le 26/07/07
à 07h25
Cannes 2007 A.Guetmanski/V.Doumesh 7ème ronde

Trait aux blancs
Ici Alexandre Guetmanski (je regardais la partie) a joué :
61tps 33-29 !.
Puis, il s'est levé l' "air de rien" pour regarder les autres parties.
Lorsque que Vitalia Doumesh a joué (41-46)?, il a frappé si fort ses poings tout en laissant échapper une espèce de grand "Ouais !" (je traduis approximatif ...)que j'ai eu peur qu'il ne réveille tout le monde.
Bref, cela n'a pas échappé à la pauvre Vitalia Doumesh qui est devenue soudainement toute blanche (ou rouge,ou encore violette,je me souviens plus exactement de sa couleur ...).
Ensuite, Alexandre Guetmanski s'est assis pour jouer triomphalement son 62tps !.
Vachement fair-play comme comportement.
Comme quoi, beaucoup de joueurs sont parfois un peu incontrôlables ...
Par faustek
– le 26/07/07
à 20h18
Seconde lettre ouverte du GMI Guetmanski
UNE TRADUCTION
AVERTISSEMENT
L’ensemble des observations faiteq pour la première lettre reste valable. J’ai également suivi les mêmes divisions avec les mêmes méthodes
I°) NOTE DE LA REDACTION
Nous continuons à publier les lettres du GMI Alexandre Guetmanski au sujet de la manière dont certains joueurs africains tentent d’obtenir des résultats an jeu de dames.
II °) CORPS DE LA LETTRE OUVERTE
Dans la partie Guetmanski – Samb consultable sur Turbo Dam Base, (Championnat du monde 2005) (white (9): 50, 44, 34, 33, 32, 30, 28, 22, 17; black (9): 08, 09, 13, 15, 16, 19, 23, 24, 35) [intraduisible, NDT Guetmanski souhaite sans doute démontrer son avantage] …
Ainsi - 45. 44-39?? 15-20! 46. 30-25 35-40 47. [coquille intraduisibles, NDT il y a des chiffres mélangés à des lettres russes, est-ce une notation ?] et la suite - 49... 32-37 50. 39-33 37-42, 16-21, 21-26 51. 33-28, toutefois, il n’y avait pas assez de temps pour poursuivre mais le 50e temps était dépassé, Samb ayant lui-même joué. Je m’apprêtais à répliquer par 51. 33-28, mais l’arbitre mit fin à la partie.
Au 45e temps, je laisse passer une victoire indiscutable car, au lieu de 45- (44-39?) il aurait suffit de jouer 45. 30-25 (15 seconds avant la chute du drapeau de de Samb, pris à lapendule comme d’habitude. Il n’était point besoin d’un ordinateur pour cela. Samb a profité de ma grosse erreur pour rétablir la situation : 45... 15-20!
De mon côté, il restait plus de 20 minutes in the reserve. Je regrettais mon erreur 45. 44-39 et ne parvenais plus à trouver d’occasion de gain. Je fus donc contraint d’accepter de jouer la remise par 45. 30-25! Et nous fimes nos derniers coups.
L’arbitre par la suite m’empêchat de jouer 51- 33-28, en exigeant que je note la partie car il croyait qu’il me restait 13 mn, alors qu’il ne s’agissait désormais que de 13 secondes.
Je n’avais pas besoin de tout ce temps, en réalité, mais je n’arrivais pas à me consoler d’avoir loupé une occasion de gain si aisée. Désormais, il ne me restait que 13 secondes et 10 à Samb. Avant que les deux drapeaux tombent !
Quand par la suite il fallu reconstituer la partie, avec difficulté car Samb avait complètement déplacé les pions dans la période de zeinot, on constata par exemple que le pion 26 se trouvait en 16…
|intraduisibel]
Néanmoins, il faut dire à la décharge de Samb qu’il a joué de manière très créative, en prenant des risques vertigineux. Il était donc équitable qu’il ait également un point, bien qu’au Sénégal des voix téméraires se soient élevées pour exiger une victoire de Samb !
Certes, Samb a affirmé que mon drapeau était tombé bien avant le sien. Il s’agit d’une assertion gratuite qui n’est appuyé par aucun témoin autre que les « amis » de Samb
Samb a aussi prétendu que la pendule électronique était probablement défectueuse.
[NDT inconhérent]
Pour ce faire, Samb s’appuyait sur l’arbitre assistant qui était sénégalais et ami de Samb : Ndongo Fall ! Il est facile de juger du dégré d’objectivité dans ce cas. Chacun comprend que si on laissait un arbitre sénagalais diriger un match de foot Sénégal Turquie, cela serait simplement un scandale international. Au jeu de dames, cela ne semble pas beacoup étonner !
[NDT incohérent]
On comprend aussi que j’ai pu être scandalisé par le fait que Samb et les fédérations africaines aient pu solliciter le gain pour lui, cela malgré le fait que Samb avait effectué des faux mouvements, déplacé fautivement des pièces, que l’arbitre principal en se trompant m’avait empêché de jouer mon 51e coup, pas le 50e, le 51e ! Malgré la réunion de conciliation, Samb refusa de reprendre la partie dans un premier temps. Samb recourut au chantage : à défaut de se voir attribuer la victoire, il en appelerait au Président du Sénégal ; il protesta contre le racisme dont il se prétendait victime.
Finalement, la solution arrêtée fut de reprendre la partie.
Je retournais à la table et l’arbitre régla les pendules. Mais Samb, mécontent de ne pas se voir attribuer la victoire ne prit pas sa place. Il se trouve que pendant ce temps, Samb bavardait avec « des témoins » (des africains) en salle d’analyse.C’est dans ces conditions que l’arbitre m’attribua le gain au temps. Hélas, à cause de diverses pressions, il fallu remettre en cause ce résultat quelques jours après.
Les néerlandais craignaient qu’en cas de départ de Samb, le tournoi ssoit désorganisé. Il s’agissait donc manifestement d’une solution diplomatique.
En appel, j’insistais sur le fait que le seul fait de déplacer fautivement des pions et de faire des mouvements irréguliers auraient dû valoir à Samb une claire sanction, à savoir une défaite.
[NDT incohérent]
Les arbitres d’appel prirent la décision de faire reprendre la partie à compter du 46e temps, m’accordant 13 secondes et 14 à Samb. L’absurdité de cette solution est évidente. Pourquoi reprendre à compter du 46e temps et non du 45e qui me donnait le gain ou à compter du 44 où les positions étaient égales ?
En réalité, il s’agissait de sauver la face.
[NDT incohérent]
Il est dommage que les néerlandais aient recouru à des techniques diplomatiques. Ma victoire, comme celle de Samb aurait provoqué un schisme. L’opinion influença donc les juges d’appel pour que soit déclaré une remise.
Cet épisode m’a marqué au point de me pôser des problèmes de santé. Deux ans après, j’ai gagné en sérénité. Je reste néanmoins exaspéré par la participations de joueurs africains invités à des tournois ainsi qu’au fait que les organisateurs ne prévoient pas toujours des damiers aux normes : dimensions et cadres.
Pour 2008, j’ai l’intention de réduire sérieusement le nombre de tournois auquels je prendrai part pour diverses raisons : effectifs insensés ; alimentation inadmissible ; prix négligeables ; télévisions ne marchant pas ; choix de lieux inattractifs non dotés d’internet ou de presse.
C’est aussi la meilleure façon de me réconcilier avec des gens comme Samb et Ndonzi.
Maintenant, beacoup d’eau a coulé depuis cet accrochage avec Samb. Mais d’autres ont eu des accrochages avac Samb. Grâce à cet arrangement diplomatique, Samb a pu occuper la 5e place du championnat du Monde, ce qui très bien pour un damiste africain.
En forçant encore plus la diplomatie, et en accordant la victoire à Samb, celui-ci aurait même pu obtenir la 3e place et la médaille de bronze.
P.S. Je me rappelle qu’en décembre 2006, j’étais au championnat du monde par équipe de Dakar comme remplaçant dans dans l’équipe de Russie. Je remarquais SAMB parmi les spectateurs. J’étais sincèrement heureux de le revoir. Je m’approchais donc de lui pour un shake hands. Il refusa poliment ma main tendue !
Sans doute considère-t-il à ce jour qu’il méritait la victoire
GMI Aleksandr getmanskiy, Holland, 2007.
III°) PANORAMA DES DEBATS
Plusieurs lecteurs semblent être d’accord avec Guetmanski. C’est le cas du GMI Buzinski qui précise néanmoijns que l’arbitrage n’était pas bon dans l’ensemble, en dehors de toute question africaine.
Quelques lecteurs expriment des préjugés en estimant que les descendants d’africains ont une conception très particulière de la dignité, y compris aux USA. Ces lecteurs observent que les africains ont une proprension à parler de racisme alors que, dans les mêmes istuations, les européens essayent de régler un problème individuel.
Plusieurs lecteurs posent le problèmes du racisme à rebours et des faveurs dont bénéficient, selon eux, les minorités. Ils estiment que les descendants africains ont pris l’habitude d’être favorisés en Europe comme aux USA par les politiques d’affirmative action et que cela leur donne une mentalité d’assisté
Quelques lecteurs hostiles au texte de Guetmanski lui demandent si ses demelées avec d’autres joueurs impliquent aussi qu’ils soient africains : ils citent Gantwarg entre autres.
Plusieurs personnes affirment néanmoins qu’il convient de répondre à un salut. Un lecteur conseille néanmoins à Guetmanski de ne plus tendre la main à Samb, de crainte que celui-ce ne se sente légitimé dans ses prétentions. Un autre remarque toutefois que le refus de saluer de Samb peut être une réaction de fierté tout simplement et qu’il ne faut pas déraper dans les commentaires.