Bonjour tous,
EN GENERAL - D'abord, je relève que les prestations des mondialistes restent dans le bon ton. Ensuite, les représedntants de l'accession automatique continuent à faire très bonne figure dans le jeu et dans les résultats.
Je vois enfin que Delmotte tient toujours la barre ! Il faut effectivement tirer son chapeau à cette solidité nerveuse..
Mais sur les rondes 6 et 7, on a vu de bien belles choses ainsi que quelques déceptions, parfois dans la même partie.
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La plus belle des parties de ces deux rondes est, de loin, la rencontre Beyaert/Cordier. L'ensemble de la partie impressionne par la solidité, la technique et l'allant José. Il apparaît clairement qu'il était venu chercher deux points dans un style de partie qu'il connaît très profondement. Il accepte un marchand de bois de la part d'Arnaud, laisse passer délibérément les possibilités de dégagement et finit par un milieu de jeu supérieur. Je vous renvoie au commentaire de Pascal qui est très exact. José a peut-être loupé le gain en choisissant le gambit. En réalité, le sauvetage in extremis d'Arnaud par une combi défensive était diffile à voir au moment du choix du gambit. C'est pas trop grave, une remise face à Arnaud.
Au passage, Beyaert rappelle qu'il n'a pas été champion de France par pile ou face !
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Il faut ensuite aller voir la très originale combi de Nimbi face à Arendo; celui-ci a dû se cogner qqchose en sursautant. Il est tout heureux de pouvoir rattraper une remise
Trait aux noirs
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Ensuite, comme le relève Adelin, c'est vrai qu'Arnaud secoue sérieusement Jean Loup, du début à la fin. Jean-Loup finit par se suicider par un étrangissime 47. 4-10. Je n'imagine pas qu'il ait fait cela en pensant au collage 26-31, sur l'attaque 28-23. Mais si c'est le cas, il faudrait en conclure qu'il voulait en finir avec cette partie épuisante à cause du harcellement des blancs. C'est dommage comme réaction.
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Comment ne pas mentionner la terrible lutte entre Martin et Lognon ? Oscar Lognon fait étalage de sa capacité de calcul dans les oppositions d'une partie classique. Mais, décidément, qd Patrick Martin joue bien, c'est vraiment bien. La partie se termine par une remise élégante.
Le mot du président