Le niveau monte,le niveau baisse?!

Par jean dalmeida – le 05/01/10 à 19h15Divers

Bonjour à tous
Je dois de temps en temps expliquer ce qu'est le jeu de dames de compétition.Très
rapidement je suis amené à dire qu'on joue aujourd'hui mieux qu'il y a dix ans ou
qu'il y a 20 ans.Mais est-ce si sûr? Avons nous une argumentation convaincante pour étayer cette affirmation?On peut considérer le championnat du monde ou le championnat de France.Dans chaque cas pourquoi pouvons nous dire que le niveau est meilleur qu'il y a dix ou vingt ans?J'ai evidemment un point de vue sur la question mais j'aimerais avoir d'autres avis.
Jean

Réponses (14)

Par totof – le 05/01/10 à 21h37

Bonjour à tous,

Quand ma femme et moi jouons au dame nous préférons voir mon niveau monté. Par contre quand je joue contre Jean je préfère voir son niveau baisser.....


Riez-vous ? moi oui

Par REVEST MICHEL – le 06/01/10 à 12h04

Pour être sur d'une réponse je pense qu'il faut déjà être d'accord sur les critères de mesure.
Il ne faut pas que cela soit subjectif mais scientifique.
Alors au secours la commission technique
Reprenant sérieusement l'entrainement et étudiant les dernières parties jouées je trouve que les joueurs sont tres forts sur la défense et difficiles à déborder. Surement que l'avancée dans les connaissances et l'aide des analyses d'ordinateur aide. Mais je n'ai pas assez de niveau pour apporter un jugement fiable et je serais interesse des réponses qui seront données. Bon sujet
Amitiés à tous

Par Stephane FAUCHER – le 06/01/10 à 14h06

Il suffit sans doute de faire un parallèle entre le classement mobile d'il y a 10 ans et celui aujourd'hui. Il y a + de joueurs à 2300 /2400 qu'autrefois ; peut être cela peut-il servir d'argumentation, c'est le principe de la pyramide.

Par REVEST MICHEL – le 06/01/10 à 19h03

Cher Stéphane d'abord mes voeux de bonne année pour toi et ta famille, ensuite je pense que c'est la première fois que tu dis un truc où je ne suis pas d'accord le CP classement mobile ne peut être un critère, si comme je le vois et d'aprés les règlements de ce calcul si certains joueurs ont progressé c'est au détriment de ceux qui ont baissé. La question du départ est entre les lignes un joueur actuel N01 est il plus fort que le N01 d'il y a dix ans ou 20 ans.
pour moi cela voudrait dire est ce que Schwarzmann est supérieur à Kouperman en ne prenant comme critère que la qualité de jeu, de vision, et d'invention technique. Comme il est dit dans une intervention cela demandera une analyse des parties trés poussée, je n'en suis pas capable mais le débat est ouvert, je poserais la question à Cannes à tous les grands maîtres. Autre question qui est liée quelle différence entre HISARD et CORDIER

Par joeldidier – le 06/01/10 à 14h11

Bonjour et meilleurs voeux pour 2010 à toutes et à tous,

C'est une très bonne et intéressante question.

A mon avis, concernant la connaissance du jeu de dames par lui même et au vu de tout ce qui a été apporté en technique, logiciels, littérature, formations, on peut affirmer que le niveau a augmenté.

Ensuite, je pense qu'il s'agit de critères individuels, chacun n'évolue pas de la même façon selon les jours, la concentration est différente. Mais je ne pense pas que l'on puisse dire qu'il soit moins bon ni qu'il stagne.

A mon avis donc, le niveau a forcément augmenté.

Cependant, il faudrait davantage de formations d'études et d'analyses de parties, en France, afin que nous puissions amener plusieurs joueurs au niveau d'autres nations.

Encore une fois, ce n'est qu'un avis personnel

Par ffjdmarco – le 13/01/10 à 17h21

De facto,je suis bien incapable d'y répondre et on ne peut faire de comparaison du fait de l'éclatement de l'urss.
Par contre,on peut faire un constat sur les moyens que nous avons en plus ou en moins pour progresser et le résultat est accablant.
Mis à part le site de la fédé qui est bien fait (avis perso),tous les autres moyens qui nous permettent de progresser sont l'oeuvre de passionnés isolés.
Quand j'ai commencé il y a vingt ans, il y avait l'effort qui proposait de très bons articles,des stages de perfectionnement et des tournois où l'on pouvait rencontrer les meilleurs mondiaux.
Maintenant,il ne reste plus que Cannes avec une participation qui reste faible!

Par Gérard TAILLE – le 13/01/10 à 17h59

Bonjour,

Pour moi le niveau de l'élite mondiale monte car il profite de l'expérience du passé ainsi que de l'aide de logiciels qui leur fait gagner du temps dans leurs analyses de nouveaux schémas stratégiques.

En ce qui concerne le niveau moyen des damistes licenciés ou pas je pense qu'il baisse car ils ont beaucoup moins d'opportunités de progresser que par le passé.

Bien sûr ce n'est qu'un sentiment personnel sans le moindre support statistique.

Amitiés
Gérard

Par bikindouadelin – le 14/01/10 à 01h19

Le meilleur joueur français à l'heure actuelle (Cordier) se défend mieux sur le plan international que le meilleur joueur français (Guinard) il y a vingt ans sur le plan international.
Actuellement, le nombre de damistes français possédant un bon niveau au regard des exigences internationales est supérieur au nombre de damistes français ayant possédé, il y a vingt ans, un bon niveau au regard des exigences internationales.
Le niveau général des damistes français, aujourd'hui, est supérieur au niveau général des damistes français il y a vingt ans.
En dépit de l'augmentation du niveau général des damistes français aujourd'hui, l'écart entre l'élite et les autres damistes est, aujourd'hui, plus important qu'il y a vingt ans.
Il est dificile d'établir les comparaisons, car la France ne s'est jamais dotée d'un système collectif de formation des damistes. Ce sont les damistes qui, de façon solitaire, s'organisent pour essayer de progresser.
Il y a vingt ans, Luc Guinard était le seul damiste doté d'un bon niveau international. Ce damiste n'a pas bénéficié de moyens d'information supérieurs à ceux des damistes d'aujourd'hui. Mais son niveau d'ensemble était solide. Ce niveau serait aujourd'hui suffisant pour remporter le championnat de France.
Guinard, à son époque, n'était pas aussi efficace face aux meilleurs mondiaux que le meilleur damiste français actuel (Cordier) devant les super GMI.
Pour le meilleur damiste français aujourd'hui (Cordier), il est plus facile de faire une remise avec un super GMI que de battre le damiste de Nationale possédant le plus mauvais capital-points.
Pour Guinard, c'était l'inverse.
Comme il n'a jamais existé en France un système collectif de formation des damistes, la question posée par le président d'Almeida revient au fond à se demander lesquels des damistes d'hier et des damistes d'aujourd'hui travaillent le plus individuellement.
Mais chacun sait aussi que le bon damiste est celui qui possède un mental de fort.

Par JackyBruiant – le 14/01/10 à 18h48

Pour les joueurs listés par la FFJD, le niveau moyen a baisé en raison de l'enregistrement des tous les jeunes dans le classement national.

En ce qui concerne le haut niveau, c'est à dire la nationale, il semble plausible de voir là une progression fruit du travail effectué par "les anciens" avec la mise en place de championnat de france Juniors et autres....

Les bons jeunes d'hier forment aujourd'hui l'élite de notre haut niveau.

Depuis 2000, c'est à dire en 10 ans, combien de CdF juniors de cette décenie sont venus intégrer l'élite (joueur au-dessus de 2200 pts) par rapport à la décenie précédente.

La décénie qui vient est prometteuse avec l'affrontement de deux joueurs en Junior (Kévin et Franck).

Pour progresser, il faut deux éléments

une formation ( Entraineurs Joueurs avec un cadre )
Des compétitions régulières (Cdf Jeunes super etc..)

Sans oublier une dose d'ambition, et des figures emblématiques servant de modèle.

Par jean dalmeida – le 14/01/10 à 19h16

Bonjour à tous
Les différentes contributions sont interessantes mais j'aimerais préciser la question.L'élite mondiale (disons les dix meilleurs) est -elle plus forte aujourd'hui qu'il y a dix ans ou vingt ans ?La réponse est probablement oui mais
quels sont les instruments de mesure.L'élite française(disons les six meilleurs)
est-elle plus forte aujourd'hui qu'il y a dix ans ou vingt ans?Là encore ,quels
sont les arguments?L'élite française s'est- elle rapprochée de l'élite mondiale?
Enfin le niveau du championnat de France (une centaine de joueurs) est- il plus
élévé aujourd'hui qu'il y a dix ou vingt ans?Qu'avons nous comme argumentation
pour etayer nos réponses?
Jean

Par cyrlebon – le 15/01/10 à 11h20

Le niveau monte car les joueurs étudient bien plus qu'avant grace à l'informatique et aux ouvrages.
Avec l'arrivée d'internet en plus et la possibilité de jouer en ligne, le niveau montera encore !

Les petits jeunes qui vont arriver ds les prochaines années seront encore plus forts que les Georgiev, Scwhartzman ou autres..

C'est mon avis en tout cas.

Cyrille

Par Franck LAURENT – le 15/01/10 à 23h35

Le niveau général monte, car la théorie progresse, et tout le monde peut en profiter. De là à dire que la force des joueurs augmente, c'est une autre histoire.
Le seul repère fiable, serait à mon avis, d'étudier la niveau des combinaisons ; dans un championnat de France des années 70 ou 80, faisait-on plus de gaffes ? plus de belles combinaisons ? On pourrait sans doute, même si ce serait fastidieux, faire des comparaisons.
Ce qui est sûr, c'est que les joueurs des décénnies précédentes (Delhom, Cordier père, Issalène, Nimbi, Guinard, Rabatel, Mostovoy et d'autres) avaient un très bon niveau tactique. Ce qui fait que certains ont baissé (je pense à Fidèle Nimbi), c'est peut-être qu'ils n'ont pas étudier suffisament les développement théoriques.
Nimbi, ne l'oublions pas, à quand même battu Ton Sijbrands !

Quant au niveau mondial, je ne vois pas de relève sérieuse ; les meilleurs ont dépassé les 40 ans (pas encore Georgiev) et on attend toujours quelques joueurs pour les déloger. Peut-être le phénomène hollandais Roel Boomstra ?

Par bikindouadelin – le 21/01/10 à 21h18

On définira l'élite française comme la crème des damistes de France possédant la nationalité française. Cette définition interdit d'inclure dans l'élite française, des damistes de France aussi puissants que Kouassi, Ndonzi et Mbongo, qui ne possèdent pas la nationalité française.
On affinera cette définition en précisant que ne peut faire partie de l'élite française que les damistes de France possédant la nationalité française, qui ont pris part au moins à une compétition internationale au cours des vingt dernières années. Cette précision aboutit à exclure un damiste de la puissance de Robert-André Favoreu.
Envisagée globalement, l'élite française actuelle selon la définition ci-avant, ne s'est pas encore rapprochée de l'élite mondiale, même si elle a considérablement réduit l'écart la séparant de cette dernière.
L'élite française actuelle est représentée par Cordier, Kouamé, Lognon, Nicault, les frères Delmotte et Berçot. Mais elle ne constitue pas une catégorie unifiée : elle n'est pas homogène. En effet, entre ces sept damistes, on pourrait établir facilement une hiérarchie dont le premier étage serait occupé par Cordier et le dernier étage, par Gilles Delmotte et Berçot.
Les résultats enregistrés par ces damistes sur le plan international ne sont pas égaux. Sous ce rapport, si on apprécie la valeur française sur le plan international en fonction de la moyenne des résultats des sept damistes, on aboutira nécessairement à la conclusion que l'élite française n'a pas réduit l'écart la séparant de l'élite mondiale.
Mais l'élite mondiale est elle-même éclatée, jusque dans la pléthorique catégorie des GMI. La prise en compte de cet éclatement pourrait au contraire amener à apprécier plus favorablement l'élite française en considérant les nombreux bons résultats obtenus ces dernières années par les meilleurs français face à l'élite mondiale la moins haute (les nombreuses victoires de Cordier face aux GMI inférieurs aux super GMI, la victoire de Nicault face à Anikiev en 2005, la remise de Gilles Delmotte face à Milchin en 2005, la victoire de Berçot face à Heusdens et la remise du même face à Gantwarg - qui est un super GMI - lors du championnat d’Europe de 2008, la récente victoire de Lognon face à Thijssen lors du championnat mondial individuel de blitz, les très nombreuses belles intuitions de jeu manifestées par Kouamé face aux super GMI Tchizov et Valneris, que ce soit à Cannes ou à l’occasion du championnat des nations disputée en Italie, etc ; Thierry Delmotte ne s’est pas beaucoup produit sur le plan international au cours des dernières années ; sauf erreur de ma part, le championnat des Nations disputée en Italie en 2005 a constitué le dernier cadre de ses parties internationales, mais, lors du dernier championnat de France - qu’il a d’ailleurs brillamment enlevé devant un GMI - Cordier - et un MI - Lognon - il a offert des parties de qualité).
Compte tenu de l’hétérogénéité du niveau des damistes au niveau mondial, une méthode simple d’évaluation pourrait consister à comparer le meilleur Français, à savoir Cordier, aux meilleurs mondiaux, à savoir les super GMI et les solides GMI (Thijssen, Ba, Scholma, Getmanski, etc.).
Cette comparaison n’est pas au désavantage de Cordier.
En effet, celui-ci obtient régulièrement, pour ne pas dire systématiquement, des remises devant Tchizov, Valneris, Georgiev, Schwarzman et Gantwarg, qui représentent le plus haut niveau international - avec les non-actifs, retraités ou semi-retraités Sijbrands et Wiersma. Ces très bons résultats suffisent à conclure que, sur le plan international, l’élite française actuelle - personnifiée par Cordier - se défend mieux que l’élite française d’hier.
Je connais assez bien tout ce que le haut niveau du jeu de dames a produit depuis le début des années 1970. Je connais encore mieux la période qui va de 1980 à nos jours, puisque j’ai eu la chance de voir toutes les parties de championnat mondial disputées depuis 30 ans. Il est juste de dire que c’est depuis l’avènement international de Cordier que la France se défend mieux face à la crème du damier international.
Cette amélioration du niveau français au regard des exigences internationales est sensible. Elle deviendra importante le jour seront accomplis deux types de progrès.
En premier lieu, Cordier, même s’il n’est pas tenu de battre Tchizov, Valneris, Georgiev ou Schwarzman, doit également se montrer systématiquement solide face aux très bons GMI. On sait qu’il n’y est pas encore parvenu, puisqu’il n’est pas rare de le voir perdre face à Thijssen, Wesselink, Anikiev et autres GMI ou MI (Lognon, Ndonzi) de qualité.
En second lieu, la France ne doit pas continuer à être portée par Cordier seul. Il est souhaitable que les autres Français présents sur la scène internationale se hissent au niveau de sérieux et de régularité de Cordier.
Le jour où donc la double évolution suggérée sera amorcée, la France pourra commencer à nourrir de hautes ambitions à l’occasion du championnat d’Europe ou du championnat mondial.
Lognon n’atteindra peut-être jamais le niveau de régularité de Cordier. Mais, au bout de deux participations au championnat du monde, il pourra vite terminer dans le deuxième tiers du classement (entre la 7ème et 12ème place d’un championnat disputé par 18 concurrents).
J’ai toujours considéré Kouamé comme un damiste doté d’un niveau de connaissances extrêmement élevé. Mais je n’ai jamais compris pourquoi il peine sur le plan international.
Naguère Nicault posséda un niveau comparable à celui de Valneris. S’il a nécessairement progressé, c’est à un rythme moins soutenu que celui du Letton. Actuellement, Nicault possède un style de jeu plus efficace que celui de Lognon ou de Kouamé. Ainsi, dans les compétitions internationales, il présente, à mes yeux, plus de garanties que Lognon. Mais ce dernier pourra bien lui devenir supérieur dans deux ans.
Thierry Delmotte fait parfois penser à Ndonzi. On a, en effet, l’impression, qu’il n’y va pas à fond, jouant uniquement sur sa classe. Aussi, est-il interdit, en ce qui le concerne, de se risquer à quelque pronostic que ce soit. Thierry se singularise en France par un système de jeu très allant, qui sera son principal atout le jour où, dans sa tête, il entreprendra la conquête internationale.
Berçot a, à l’occasion du dernier championnat d’Europe, réalisé, sur le plan international, la meilleure performance française après celles, nombreuses, de Cordier. Mais le même Berçot a souvent été décevant à Cagnes-sur-Mer lors du tournoi international. Il se peut que son déclic international dépende d’une victoire finale, toujours recherchée, dans le championnat de France.
Gilles Delmotte, comme Thierry et Maxime, n’est pas souvent présent sur le plan international, ce qui n’est pas à l’avantage de la France.
Au regard de tout ce qui vient d’être dit, Lognon, Nicault et Berçot sont, actuellement, les damistes français les plus prêts pour accompagner Cordier durablement sur la scène internationale.
Je ne suis pas en mesure de dire si Nicault pourra un jour décider de se révolter sur le plan international.
Je sens bien que Lognon veut à arriver à quelque chose : c’est déjà bien, car je pense qu’il faut minimiser ses difficultés actuelles à déterminer son style de jeu.
S’agissant de Berçot, il faut attendre ce qu’il fera lors des deux ou trois prochaines sorties internationales.
Kouamé et les frères Delmotte ne semblent pas intéressés par la perspective d’une grande carrière internationale.
S’il veut continuer à être efficacement présent sur le terrain international, le damier français, tout en s’appuyant sur son élite actuelle, se doit de travailler à l’émergence de nouveaux talents. Ce serait là le moyen pour ne pas gâcher l’héritage de Cordier.

Par fumaco – le 17/02/10 à 22h00

Bonjour monsieur le président,
et bonjour à tous les amis damistes,

je voulais vous faire part de mon expérience et de mon avis sur le sujet.
pour faire court, durant 5 ans, j'ai évolué au sein du jeu de dames jusqu'à un CP de 1875 environ et en participant à plusieurs compétitions où j'ai pu arrivé sur le podium du championnat de France cadet et junior.
Début des années 90, les évènements de la vie ont fait que j'ai quitté le monde damiste. Depuis 2 ans, j'ai trouvé un club dans ma région et le temps de me consacrer de nouveau à ma passion.
Tout cela pour vous faire part de mon avis.
Je pense que le niveau a monté. Avec le même CP, aujourd'hui j'ai l'impression que les joueurs ont un meilleur niveau qu'il y a 15ans. Ce n'est pas fulgurant mais il y a de l'amélioration, peut être grâce à l'évolution de la technologie et à une meilleur information sur le jeu. En tout cas, les parties sont mieux structurées.
Hors sujet, je me suis aperçu qu'il y a beaucoup moins de jeunes dans les clubs et là c'est plutôt un point négatif.

En espérant vous avoir aidé
cordialement
cédric