Tentative d'apaisement

Par Gil – le 05/11/10 à 15h00

Bonjour,


Brice (15 ans) est rentré hier vers 22 H, me disant :
"Henri m'a dit que tu t'étais encore embrouillé avec Jean..."

Je fais mine de nier, ce qui me vaut :
"Ca se voit, vous êtes tous cons!" : ouahhh!!

Pas de claque en retour, parce que c'est loin d'être faux...
comme le sous-tend, à juste titre, Laurent Guillaumin par rapport au brouillage du Mondial Cadets.

Mon ambition est, depuis mes débuts de joueur en mai 1995, la normalisation de la FFJD, rien de plus (mais c'est un chantier usant...).

Le dialogue étant quasi-impossible avec Jean, je vais essayer avec Thierry,
en reprenant son post.


Cordialement.


Gil

Réponses (4)

Par Guillaumin Laurent – le 05/11/10 à 15h08

merci gil , tu aurais pu répondre sous mon post :)

Amitier

Par Gil – le 05/11/10 à 15h50

Je suis partisan depuis mes débuts de la normalisation de la FFJD.
Le mot guignol a été utlisé par Jean, président de la FFJD, sur le forum de la FFJD, pour qualifier des personnes qui ont une vision différente de la sienne sur la gestion de la FFJD.

Du coup, 1999 revient en boomerang.

PC a joué en janvier ou février 1999, avec l'ADP contre le Damier Parisien, sans être licencié. Les personne intéressées le savaient, mais n'ont rien dit...sauf moi (grâce à l'ouverture du site fédéral sur lequel figurait la liste des licenciés) qui demandais à GL, directeur de la Coupe de France, d'appliquer le règlement.
Il n'osa pas, arguant que PC aurait envoyé son chèque de prise de licence au responsable...des abonnements à l'Effort (alors qu'à l'époque la demande de licence transitait par le club, puis la ligue ; ce que PC, alors vice-président de la FFJD aurait dû savoir, non?).
Finalement, l'ADP est allée en finale, perdue contre Noisy.
A l'AG, je remettais ça. Il m'était répondu un nouvel argument du genre :
PC n'avait pas pris de licence parce que son enfant était malade.

Pour moi, PC pouvait jouer sans licence, mais c'était le devoir de GL ou d'Henri Macaux d'appliquer la sanction prévue par le règlement, quel que soit le niveau de sympathie ou d'affinité et les motifs.
Sinon, c'est le copinage!

La normalisation est indispensable pour grandir,
parce que ne pas respecter le règlement de la FFJD, c'est :
- ne pas respecter les damistes qui ont travaillé à l'élaborer
- ne pas respecter les damistes qui le respectent
- mépriser les damistes qui oeuvrent d'une manière ou d'une autre pour la FFJD
- perdre la confiance et la sérénité dans la direction fédérale

Alors, quand Jean intervient pour dire : "après tout, ce n'est qu'un jeu..."

Il va à l'encontre de la reconnaissance qu'on essaye chaque semaine de donner au jeu de Dames. C'est une phrase guignolesque, dans ce contexte, et qui cautionne le copinage.

Thierry : peux-tu comprendre qu'on puisse souhaiter la normalisation?


Cordialement.


Gil

Par Gil – le 05/11/10 à 15h16

Thierry,


Arrivé au club de Dijon en mai 1995 :

- je ne suis pas au chp de France à Troyes (je n'y connais personne, hormis Arnaud et Henry Cordier)
- je ne faisais pas partie de la commission de discipline qui t'avait sanctionné fin 95 ou en 1996.

Le 14 octobre 1995, je suis élu président du Damier Dijonnais.

Ensuite, j'accepte de m'occuper de la trésorerie pour les derniers mois du mandat d'Henry Cordier. Et j'enregistre les opérations de débit et crédit sur un cahier comptable. Ce qui me vaut de ta part d'être qualifié de "voisin de palier".
Ca fait plus de 10 ans que je t'ai pardonné.
J'ai transmis le journal comptable. Tu dis que la FFJD a toute sa comptabilité,
sauf en 1996. Je te serais très reconnaissant de m'en fournir copie, par simple intérêt personnel.

Je certifie sur l'honneur qu'à ma connaissance Henry Cordier n'a jamais détourné de fonds à son profit. Je suis prêt à essayer de répondre au mieux à toutes les questions sur l'année 1996.


Cordialement.


Gil

Par Gil – le 05/11/10 à 16h10

Thierry,


Sous la présidence d'Henri Macaux (que j'aime, bien qu'opposé à certaines de ses pratiques), j'ai organisé à Dijon la phase finale de Coupe de France 2001 et les chp de France Jeunes 2001 et 2002 (encore de l'auto-glorification dont je te prie de bien vouloir m'excuser).

Sous la présidence de Jean, j'ai convaincu mon ami Guy Perret d'organiser les chp de France Jeunes et SR à Montceau en Bourgogne en 2008.

Depuis 1997, Henri Macaux, puis Jean D'Almeida, ont eu des présidences sans opposition, le concours de personnes favorables à la normalisation (contre le copinage) comme Arnaud Cordier (création du site FFJD + chroniques dans l'Effort), moi-même ou d'autres.

En bref, un boulevard de 13 ans pour dépasser largement les 1 000 licenciés.
Qu'en penses-tu?


Cordialement.


Gil