De l'histoire et des fables,
Par PLA
– le 04/09/11
à 07h36
– Informations
De l'histoire et des fables,
Ou les fantasmes de d'Almeida.
Les diables dans un bénitier.
Comment s'est constitué le tandem diabolique Cordier/Azaïs qui remplira le forum de haine chaque fois que l'on n'aura rien à dire, mais qu'il faudra parler quand même, sans précaution de langage et avec un mépris de noble pour la plèbe.
((Je dois signaler au passage que la syntaxe, l'orthographe et la ponctuation sont vraiment déplorables. Un petit effort pour les béotiens, comme moi, qui ne comprennent que la base du langage péniblement apprise, serait le bienvenu.))
Cher jean,
Je m'adresse à toi familièrement parce que je ne te considère pas comme un ennemi ; je ne souhaite pas non plus écrire dans la solennité.
Tu racontes une histoire de Président sans en connaître les prémices, ou peut-être préfères-tu les occulter. Si bien que tout le développement qui suit est entaché d'erreurs assimilables à de la mauvaise foi.
Il n'y a pas eu d'un côté les abominables Henri Cordier et ses acolytes, et de l'autre une cohorte de braves damistes bien sous tous rapports et irréprochables dans leur conduite.
Reprenons le cours des événements
Donc je décide de faire le Championnat de France de Troyes après des années de club sans m'en occuper. Je ne connaissais Henri Cordier que de nom et je n'avais jamais entendu parler de Jacques Hermann.
Un périple
Je pars de Béziers en voiture, seul, et arrive le lendemain à Troyes sous une chaleur torride. Je prends une chambre dans un hôtel, au premier étage. La chambre donnait sur une vaste terrasse qui avait été chauffée toute la journée par le soleil. Nuit difficile pendant laquelle je pris trois douches froides. Le lendemain matin, je cherchai ailleurs et déménageai.
L'après-midi je me dirigeai vers la mairie où devait se tenir le Cht de France.
La Mairie de TROYES
J'arrive dans la magnifique salle de la mairie, signe ma feuille de participation. Henri Cordier assis derrière sa table d'accueil me présente Jacques Hermann que je félicite pour son accueil et le lieu ; il me dit qu'il avait travaillé deux ans pour avoir cette salle.
Henri Cordier me donne un badge en me disant de ne pas l'oublier car le maire est François Baroin, porte-parole du Gouvernement d'alors. J'estimais que c'était une grande faveur et que la sécurité des lieux dans une période très agitée passait aussi par le badge. En fait il n'y avait même pas à se poser de question et agir selon les directives.
J'allai m'asseoir dans un coin "frais" en attendant l'arrivée des autres joueurs, en lisant.
Un brouhaha se fait dans la salle et j'entends que certains ne voulaient pas mettre le badge, qu'ils étaient nombreux. Ils sortirent de la salle pour aller se consulter ailleurs. Il n'est pas nécessaire de répéter leurs noms : tu les as désignés. Ce qui m'a frappé à ce moment là, c'est la jeunesse des contestataires, autour de la vingtaine d'années, sauf deux ou trois dont Raoul Delhom qui mettait sa notoriété au service de la rébellion,
Le temps passe. Tous les joueurs arrivent et signent la feuille, sauf évidemment les "réfractaires".
Tout à coup un quidam entre dans la salle et hurle : "C'est décidé : il n'y aura pas de Cht de France cette année ; il est annulé ! Nous n'y participerons pas." C'était Fabrice Maggiore, que je ne connaissais pas. Il parlait au nom de 14 personnes nommées dans ton réquisitoire.
Je ne veux pas décrire ma surprise, mais avoir fait 800 kms (1600 en tout) pour rien, à cause d'une fronde pour un badge tout a fait justifié, avait de quoi laisser pantois.
Je me rapprochai de H. Cordier et J. Herman pour essayer de comprendre. Ils étaient choqués et surtout Jacques Herman était bouleversé en voyant s'écrouler tout ce qu'il avait fait pendant deux ans pour ses amis les damistes.
Je n'en suis pas certain, mais je crois bien qu'il n'était pas question de problème plus grave, comme la participation des étrangers au Cht de France par exemple qui ne pouvait pas se régler de cette manière.
Et quand bien même : il parait tellement évident qu'un Cht de France est fait pour mesurer le niveau des Français dans les championnats internationaux que cette question ne m'a même pas effleuré. J'en ai entendu parler plus tard.
Quoi qu'il en soit je me mis de leur côté sans réfléchir plus sur les extravagances des ennemis du badge.
Les heures tournaient. Henri Cordier arrêta les inscriptions puisque les autres ne voulaient pas participer et le mise en place se fit. Il devait être 16 heures trente environ.
J'étais assis près de la feuille des signatures lorsque je vis apparaitre un jeune plein de fougue et de conviction. Il attrapa la feuille, la mit à hauteur de son visage et s'apprêtait à la déchirer. Je lui attrapai un poignet dans chaque main et serrai assez fort pour qu'il ne puisse plus bouger. J'augmentai la pression jusqu'à ce qu'il se décidât à lâcher la feuille intacte : "On ne déchire pas ma signature !" Il se reconnaîtra. Je n'avais pas l'intention de lui faire mal, comprenant qu'il était emporté par sa jeunesse.
Appel des joueurs. Constitution des catégories. Les équipes étaient formées et les joueurs en place lorsque Raoul Delhom est entré dans la salle en disant du haut de ses exploits émérites de champion : "Bon ! on a changé d'idée ; on vient se faire inscrire pour le Cht!"
Ce fut une levée de boucliers et le refus général de les accepter après le scandale dans cette mairie. Je me suis mis carrément du côté du Président et de l'Organisateur sans augurer des suites. Lors de l'assemblée générale qui suivit, H. Cordier me proposa à l'Assemblée au poste de Vice-président, j'acceptai et je fus élu par l'Assemblée Générale Ordinaire. On ne peut pas faire partie du conseil d'Administration si l'on n'est pas élu.
Je n'ai donc pas été désigné comme tu l'écris avec l'arrière-pensée que nous agissions comme des dictateurs. Tu t'es fié uniquement à ce que t'ont raconté les schismatiques de l'ANJD.
Conseil de discipline
Le conseil de discipline était plus que nécessaire. Les contestataires avaient été abjects, non seulement contre le Président et Jacques Herman, mais contre tous les membres de l'Association. S'ils avaient des reproches à faire, ils devaient d'abord laisser se dérouler le Cht par respect pour ceux qui l'avaient organisé, pour les autorités de la ville et pour ceux qui étaient venus de très loin pour y participer. Les doléances devaient être traitées dans les questions diverses, et non à la manière des voyous.
Ils ont alors constitué une ligue qui eut pour résultat la scission de la FFJD et la création de l'ANJD sous la férule de Henri Macaux.
Henry Cordier ne renouvela pas son mandat de Président : je n'étais pas intéressé et Chappel fut élu jusqu'à ce qu'il en ait assez car il n'obtenait rien de concret, quoiqu'il fût beau parleur.
Une nouvelle campagne eut lieu pour le remplacer et quelques joueurs me demandèrent de me présenter avec comme objectif la réconciliation et la réunification. Pas Facile car certains étaient encore véhéments et déstabilisaient toutes les réunions.
Enfin, je me présentai pour la présidence, après un long discours inutile de Chappel qui trouvait les bonnes solutions le jour où il abandonnait le poste de Président.
Le vote allait avoir lieu, lorsqu'Henri Macaux, qui n'avait rien dit jusque là poussa un cri : "Je me présente contre Azaïs !" La violence de l'intervention me fit comprendre immédiatement que si j'étais élu, la scission se prolongerait et que la réunification ne se ferait pas sans douleur ; j'ai donc déclaré : "Je retire ma candidature de la Présidence !" laissant les mains libres à Henri Macaux. Quelques amis me l'ont gentiment reproché, mais la véhémence d'Henri Macaux était l'indice d'une nouvelle guerre qui n'aurait cessé qu'avec l'anéantissement de l'équipe Cordier.
Henri Macaux fut élu et le chantage à la dictature commença.
Ils voulaient la FFJD ; ils l'ont eue ; seulement le révolutionnaire Macaux était un excellent arbitre, un meneur d'hommes et un grand animateur, mais un mauvais Président, et l'année suivante, il abandonna le poste. Pas de candidat, (même pas AZAÏS) et l'on se rabattit sur un inconnu qui promit tout ce qu'on voulut pour avoir le poste et l'obtint, à la grande satisfaction de toute la fédération, du moins je le présume. Hélas ! il n'avait que le génie de s'appeler Victoria et fut éjecté à son tour.
Ce qui s'est passé ensuite ne concerne pas le tandem "abracadabrantesque" Cordier/Azaïs.
Corollaire
Je suis très étonné que le Président de l'Association ait une si mauvaise mémoire de son histoire et continue à faire du tandem Cordier/Azaïs un duo de croquemitaines responsables de tous les malheurs. Il est vrai que tu n'y as pas assisté et ne peut savoir que ce fut la période la plus noire de la FFJD.
Cela tenait à la rivalité existant entre deux fortes personnalités, colonnes de la Fédération, H. Cordier et H. Macaux : les deux H.
Et je dis qu'Henry Cordier fut un bon Président qui a pris la résolution qu'il fallait à l'égard de ses champions et des membres de l'Association. C'est un manque de respect flagrant que de croire les français tellement au-dessous des autres nations qu'ils sont obligés de faire jouer les étrangers au Cht de France pour relever le niveau des joueurs français.
La "gentillesse" Française d'inviter des étrangers au Cht de France est de l'angélisme et ne donne pas une bonne image de la FFJD. "Venez nous montrer : nous, on sait pas faire !" D'autant qu'il est patent qu'un étranger ne peut pas être champion de France : c'était un laxisme coupable.
C'était le rôle d'Henry Cordier d'arrêter un excès de zèle internationaliste quand il s'agissait de promouvoir les capacités des français aux yeux du monde damiste : il faisait son travail de Président.
Et bien sûr on va encore nous accuser de xénophobie, de replie sur soi, de petitesse d'esprit, comme s'il ne s'agissait que d'inviter des étrangers pour être de bons joueurs et de grands humanistes.
Je suis éberlué que des maîtres laissent leur place en Nationale du Championnat de France pour regarder jouer des étrangers, même s'ils sont très sympathiques.
Pour cela il y a les tournois open nationaux, (Avignon, Cannes, Parthenay… etc.) européens et mondiaux. Il existe une différence entre tournoi et championnat : c'est le titre, en l'occurrence… NATIONAL.
La cohésion de notre Fédération ne passe pas par des fantaisies de midinettes, ou bien il faut déclarer franchement que les joueurs français sont des nuls, assimilables parfois à des guignols. Cela fera sans doute plaisir à nos maîtres.
Il se peut que reprenant cela de mémoire, j'ai pu commettre des erreurs de date ; cela ne change rien à l'histoire réelle et au malaise général dont TROYES à été le révélateur.
Amicalement.
Paul-Louis AZAÏS
Réponses
(14)
Par JackyBruiant
– le 04/09/11
à 08h22
Bonjour
Comme j'ai fait avec Jean d'Almeida, je me dois d'apporter une précission sur ce qui me concerne.
J'ai menacé de détruire la feuille de match sur le fait que l'on ne voulait pas accepter les écris que j'avais mi-dessus à savoir ma signature et la participation des étrangers devrait être débattue en AG.
Pour me répeter, ce qu'une AG décide une autre peu le défaire.
Le sujet de la participation des étrangers reste un choix de l'AG. Et une fois la décission adoptée par l'AG soit l'on suit les résolutions soit l'on quitte l'association si l'on ne peut pas tolérer le choix général.
Par dalmeida
– le 04/09/11
à 08h35
Par dalmeida
– le 04/09/11
à 10h03
Par dalmeida
– le 04/09/11
à 10h43
Mon cher Paul Louis
Je pense que ta mémoire te trahit ou que tu oublies de relater les faits qui te dérangent.
Voici les faits
Ete 1995 : H. Cordier refuse la présence d'un etranger au championnat de France
Ce n'est pas une décision d'AG mais une décision personnelle d'H.Cordier
Conséquences : Plusieurs joueurs décident de boycotter le championnat.Ils seront
sanctionnés.Certains iront créer l'ANJD
Octobre 1995 : H.Cordier nomme P.L. Azais vice-président et G.Taillandier trésorier.H.Cordier réunit un conseil de discipline et nomme P.L.Azais président de séance du conseil de discipline.Ce conseil prononce des exclusions allant jusqu'à 5 ans
Decembre 1996 : Fin du mandat de H.Cordier
Janvier 1997 : Election à la présidence de la FFJD
Victoire très large de J.M. Victoria devant P.L Azais
Juin 1997 : Adoption très large par l'AG de la convention de réunification.
Cette convention annule les sanctions de 1995 et autorise les etrangers à
participer au championnat de France
Ete 1997 : R.Chappel préside l'AG de la FFJD (Mr Victoria a démissionné pour
raisons de santé).Mr Chappel demande s'il y a des candidats pour la présidence
de la FFJD. Me Azais indique qu'il est candidat. Mr H.Macaux décalre aussi
qu'il est candidat.Mr Azais retire aors sa candidature.L'assemblée est alors invitée à voter par oui ou non à la candidature de Mr Macaux.
Mon cher Paul Louis
Voici l'analyse que je fais de cette partie de l'histoire de la FFJD.Les décisions importantes doivent être prises par l'AG et non par le président tout
seul.Les adhérents de la FFJD n'acceptent pas les pratiques autoritaires.
Je suis plutôt flatté de la confiance que me font les adhérents de la FFJD puisqu'ils m'ont à trois reprises confié la direction de notre association.
Bien entendu certains adhérents n'ont pas le même point de vue que moi.C'est
tout à fait normal.Nous sommes en démocratie.Ces adhérents s'expriment librement
à l'AG et sur ce forum.Ils ne risquent pas d'être sanctionnés ou exclus de la Fédération.C'est la différence essentielle entre toi et moi.
La FFJD est une association démocratique.Chacun est libre d'exprimer son point de vue.Mais les décisions sont prises (selon leur importance) par les structures
de la FFJD : AG , CA .
Jean D'Almeida
Par dalmeida
– le 04/09/11
à 11h05
Les trous de mémoire d'Azais (suite)
Mon cher Paul Louis
Je viens de lire en détail ta prose.Résumons ta version.Après le mandat d'H.Cordier , R.Chappel a été élu président de la FFJD.Ensuite H.Macaux a été élu mais a abandonné le poste un après puis enfin Victoria a été élu.Je ne sais pas
si tu mens délibérement ou si tu as complètement perdu la mémoire.
Tu as été candidat pour remplacer H.Cordier(contrairement à ce que tu écris) et
tu as été sèchement battu par Mr Victoria.R.Chappel était secretaire général
de Victoria.Il n'a jamais été élu président.Il a assuré l'interim après la
démission de Mr Victoria.Henri Macaux a été président d'août 1997 à décembre 2002.Tu as été nommé par H.Cordier en Octobre 1995.Le compte rendu est dans l'Effort.H.Cordier indiquait dans ce même numéro qu'il ferait confirmer cette
nomination par l'AG de 1996.Les choses sont donc très claires.
Ta mémoire est singulièrement défaillante.
Jean D'Almeida
Par Fabrice MAGGIORE
– le 04/09/11
à 15h41
Non seulement sa mémoire est défaillante, mais au delà d'une articulation hésitante ( à une autre époque, il était quand même plus performant surtout au niveau de la langue et de sa syntaxe), je pense sincèrement qu'AZAIS doit se retirer de la vie publique. AZAIS n'arrive même plus à remiser avec ses petits enfants; en y remettant une nouvelle couche, il pensait que l'histoire pouvait être travestie. Il est temps de faire votre deuil de cette sombre époque avant de quitter les terriens. Prenez exemple d'HC, lui au moins est digne. Et c'est toujours un plaisir de le saluer.
Finalement, vous êtes un peu comme GT, vous bottez en touche quand vous êtes incapable de faire la différence entre un badge et un étranger. Lui n'arrive pas à répondre sur la définition de l'Etranger? il considére qu'il en existe plusieurs (de définition).
Enfin, le Président DALMEIDA vous a très bien répondu. Il ne s'agissait pas de badge. Et il ne s'agissait pas d'être pour ou contre la participation des étrangers au championnat de France. J'étais contre et je le serai toujours. Mais j'étais contre qu'un homme décide seul non pas sur la participation d'un étranger qui avait déjà participé l'année précédente au championnat de france mais tout simplement contre la participation des étrangers en général au Championnat de france. BRUYANT l'a écrit 1000 fois ces derniers temps ( comme quoi il ne dit pas que des conneries), c'est à l'AG de décider.
D'ailleurs ceux qui pensent que c'est au ministère de ce qu'ils veulent ou au CT, ils se déclarent incompétents de cette question. Ils ne savent pas ce qu'ils disent.
Par dalmeida
– le 04/09/11
à 17h43
J'ai été amené à évoquer une partie de l'histoire de la FFJD.Je vais apporter quelques compléments afin que chacun sache à quoi s'en tenir.Dès que j'ai été
élu à la présidence de la FFJD(janvier 2003), j'ai appelé H.Cordier.Je considérais que mon devoir était de rassembler la famille.Nous avons eu une longue conversation.Cette conversation s'est poursuivie à Hellemmes en août 2003 au cours du championnat de France.J'ai dit à Henry ce que je pensais et nos relations sont devenues très amicales.Je l'ai revu avec beaucoup de plaisir à plusieurs reprises au cours des championnats de France.Dès qu'il me voyait il insistait pour m'offrir à boire.Je lui dois donc plusieurs cafés et plusieurs bières.Cela ne m'empêche pas de porter un jugement très sévère sur la deuxième
partie de son mandat de président.Je pense que H.Cordier a rendu de grands services à la FFJD avant de devenir président.Je pense qu'il a fait des choses interessantes comme président mais je pense aussi qu'il s'est lourdement trompé à partir de l'été 1995.Il a donc raté sa sortie.
J'avais des relations plutôt amicales avec Paul Louis Azais depuis 2003.J'ai
donc été assez surpris par l'attitude de Paul Louis à mon égard depuis quelques
mois.Cela s'est manifesté essentiellemnt sur ce forum.Aujourd'hui Paul Louis
ne sait plus qu'il a été candidat contre Jean-Marie Victoria.Il pense que
c'est R.Chappel qui a succédé à H.Cordier.Il croit que H.Macaux n'a été président que pendant un an .Il pense enfin que c'est Victoria qui a succédé à H.Macaux.
Dans ces conditions toute discussion avec Paul Louis est inutile.
Jean D'Almeida
Par PLA
– le 05/09/11
à 13h02
Réponse à FM
Cher Fabrice
Voilà la haine en gros sabots qui coule avec une faconde inénarrable. Passons sur les invectives ; elles n'intéressent personne. Si l'on voulait créer une animation, ou plutôt une animadversion, c'est réussi.
Je cite cependant :
FM - Je pense sincèrement qu'AZAIS doit se retirer de la vie publique. AZAIS n'arrive même plus à remiser avec ses petits enfants; en y remettant une nouvelle couche, il pensait que l'histoire pouvait être travestie.
PLA – Ce sont là des arguments irréfutables. Pourquoi aurais-je voulu travestir l'histoire ? Si Jean d'Almeida n'en avait pas parlé, ce n'est pas moi qui serais revenu sur cet épisode plus que sensible puisqu'on ne peut l'évoquer sans provoquer d'âpres disputes.
Mais si j'explique que la mémoire (en tous cas la mienne) n'est pas extensible et que peu à peu les événements anciens ne restent que dans les grandes lignes, et peuvent même disparaître si l'on n'y revient jamais ; qu'ils sont remplacés par d'autres préoccupations intensives comme c'était mon cas, et que donc on peut se tromper de bonne foi, FM le comprendra-t-il ? Il a l'air d'estimer que sa mémoire est infaillible et se souvient de tout qu'il a vécu, lu, fait dans les plus petits détails. J'admire, et n'hésite pas à le considérer comme un phénomène.
Ne comptant pas refaire l'histoire, je n'ai pas pensé que l'on s'y plongerait pour la décortiquer et je le regrette, surtout si j'ai pu froisser quelqu'un. Je n'en avais retracé que des souvenirs ponctuels en les déformant involontairement, selon un ressenti et sans intention de tromper.
Quel intérêt peuvent susciter les quelques agitations d'AZAÏS il y a 16 ans ?
En tous cas, je remercie Jean d'avoir rafraichi ma mémoire en corrigeant mes erreurs.
FM - Il est temps de faire votre deuil de cette sombre époque avant de quitter les terriens.
PLA - C'est net ! C'est franc ! C'est plein de sollicitude ; on y sent le souffle d'un athlète de la chicane. Quand j'aurai quitté les terriens, tous les problèmes seront réglés, et les damiste vivront heureux. Vivement qu'il débarrasse le plancher !
À TROYES - Quand je suis arrivé dans cette mairie, innocent comme Maggiore ne l'a jamais été, il ne s'agissait que de badge :"Nous ne mettrons pas le badge!" Personne n'a parlé devant moi en tous cas des étrangers au Cht de France. C'était une affaire en vase clos connue de quelques joueurs de la Nationale.
Le deuil de cette sombre histoire, comme vous dites, était fait depuis longtemps, et je m'étais efforcé de nouer de bonnes relations avec tous les damistes par une attitude conciliatrice.
FM - Et il ne s'agissait pas d'être pour ou contre la participation des étrangers au championnat de France. J'étais contre et je le serai toujours. Mais j'étais contre qu'un homme décide seul…
PLA – On entre là dans des subtilités. Ce n'était pas un homme seul puisqu'il était Président de l'Association, agissant pour la préservation des champions et des Maîtres de sa Fédération. Alors le problème ne concernait qu'une décision prise par le Président pour corriger une anomalie, comme c'était son rôle, quitte à s'en expliquer ensuite en AGO ?
Et c'est pour cela qu'il fallait bouleverser et annuler le Cht de France ?!
Être pour une action salutaire, et fomenter une révolution parce qu'un Président l'a imposée en son âme et conscience, frôle la schizophrénie : on veut et on ne veut pas ; on sait qu'une idée est bonne, mais on la trouve mauvaise. Le Président prend des responsabilités que l'on juge utiles, voire nécessaires, au bon moment pour le bien commun ; malheureusement, il le fait sans interroger les principaux intéressés qu'il n'a pas sous la main, c'est-à-dire ceux en faveur desquels la décision est prise.
Je ne confonds donc pas le badge et l'étranger ; mais on a utilisé le badge pour donner plus de force à une cause dont on savait très bien qu'elle était juste, mais que l'on ne pouvait accepter en alléguant un vice de forme.
Et l'on peut se demander si le badge et l'étranger, utilisés comme prétextes, ne couvrent pas une hostilité plus profonde contre le Président et son équipe ? Un complexe qui aurait l'allure d'une cabale ; car enfin, l'idée de faire annuler un Championnat de France au dernier moment, quand tout est réuni pour qu'il se déroule dans les meilleures conditions possibles, révèle une poussée hallucinatoire.
Par ailleurs pouvez-vous, Cher Fabrice, me donner la définition de l'étranger s'agissant d'une compétition à caractère NATIONAL ? Cela me rendrait service et aiderait GT à sortir de ses hésitations : il n'aurait plus de raison de botter en touche.
Comment faire pour que FM ne devienne pas un Fusil Mitrailleur ?
Amicalement.
Paul-Louis AZAÏS
Par PLA
– le 05/09/11
à 18h33
Réponse à Jean D' au 1er message du 04/09/11.
Mon cher Jean,
Je te remercie d'avoir rétabli une histoire dont j'ai oublié une partie parce qu'il n'était dans mon intention d'en reconstituer la chronologie, ni d'ailleurs l'ensemble des faits ? Je n'avais pas l'intention de tromper qui que ce soit : c'est le fond qui m'intéresse. Je n'en ai conservé que quelques images essentielles que je n'ai pas analysées parce que je n'y attachais qu'une importance relative.
Mais je suppose que tu as fouillé dans les archives pour me répondre avec cet aplomb. Il est vrai que je l'ai décrite comme je l'ai toujours ressentie, car je ne m'occupais pas que de ça ; et surtout je ne m'attendais pas à la voir ressurgir avec une virulence risquant de semer la haine, comme si les affaires d'aujourd'hui devaient en dépendre.
Donc pour toutes ces erreurs : Mea culpa!
L'affaire de TROYES
De plus, je n'étais absolument pas préparé pour prendre une quelconque responsabilité au sein de la FFJD quand je suis arrivé à Troyes : mais j'ai un tempérament serviable et suis assez ouvert aux problèmes sociétaux. J'ai donc pensé que je pouvais être utile. Et j'ai bien vu que le "tandem Cordier/Herman" avait besoin de réconfort contre la chienlit inadmissible qui pouvait avoir des répercussions dramatiques. D'ailleurs Jacques Herman en a été longtemps très affecté, et sa santé a tété atteinte. Ce qui avait été pour lui une joie dans l'âge mûr était devenu un cauchemar.
Je puis t'assurer que pris dans cette nasse, ce ne fut pas une partie de plaisir pour moi : Henry Cordier faisait tout pour me garder près de lui, sans doute par sympathie réciproque, mais aussi un peu parce qu'il se sentait seul face à une bande de braillards incorrigibles. Il avait besoin de soutien ; j'ai fait ce que j'ai pu.
Tu comprendras qu'ayant tiré un trait sur cet épisode, certains détails m'aient échappé, comme Roland Chappel qui n'était pas Président, mais m'en a laissé tout l'air tant il parlait bien, ou le fait qu'Henri Macaux avait été Président cinq ans sans me laisser de grands souvenirs. Je me suis efforcé d'oublier ses attaques, et j'y ai assez bien réussi, allant jusqu'à le défendre quand il était en difficulté. Quant à Victoria, je crois que je ne l'ai vu qu'une fois sans avoir de conversation avec lui. Je ne me suis pas attaché à surveiller leurs parcours. H. Macaux était élu, et j'étais à nouveau libre de m'occuper d'autre chose.
Passons sur cette série de faits dont j'ai pris la précaution de dire qu'elle pouvait être entachée d'erreurs. Je n'ai pas l'intention de revendiquer quoi que ce soit de cette époque.
Cependant j'ai toujours agi ou réagi sans tenir compte de ce qui s'était passé car on ne refait pas l'histoire avec des invectives, et j'ai tendu la main par la suite à ceux qui se considéraient comme mes ennemis. Quelques-uns ont été assez intelligents pour comprendre le sens de ce geste, d'autres l'ont refusé. Bon ! L'essentiel était de réduire les animosités, et de retrouver la sérénité lors des compétitions ; car ce sont toujours les mêmes que l'on retrouve.
Qu'est-ce que cela change sur le fond ?
Ceci n'est pas seulement une réminiscence technique d'organisation ; c'est aussi et avant tout un problème humain.
Il s'agit maintenant de savoir comment évoluent les événements selon les impératifs qui les régissent.
De la démocratie
Voyons une minute ton crédo sur la démocratie et ce que l'on peut en faire.
Deux ou plusieurs candidats se présentent avec des programmes différents et les soumettent à l'appréciation de leurs électeurs.
Basée sur le gouvernement par le peuple qui consiste, selon J-J Rousseau, à ce que chaque individu détienne une part de la souveraineté nationale, la démocratie est probablement le seul garde-fou logique contre les dictatures ; cela dit en l'assortissant tout de même de la diversité des réactions humaines.
Les électeurs choisissent un programme s'ils le lisent, l'analysent et le comprennent. Ils élisent ensuite le Président qui leur paraît le plus sincère, ou le plus sympathique, ou le plus malléable…etc. Parfois aussi ils élisent le Président en fonction des menaces qu'il fait peser sur l'électorat par une finesse mal perçue a priori. Les choix sont souvent aléatoires et reflètent les qualités et défauts de l'espèce humaine.
Le programme élu est mis en route sous la houlette du Président qui veille à son bon fonctionnement et peut corriger certains écueils par son autorité et sa perception d'une situation particulière. Cela fait partie aussi de la démocratie et surtout de la responsabilité du Président.
Malgré les apparences, aucun programme, aussi élaboré soit-il, ne peut correspondre parfaitement aux besoins présents et à venir que peut connaître une association. On ne peut pas toujours attendre une assemblée générale pour apporter une solution à un problème épineux immédiat. La seule personne qui peut prendre une initiative qu'il juge d'intérêt général est le président de l'Association : il en est le guide et le garant. Il peut exercer son pouvoir provisoirement en remettant à la prochaine assemblée générale la correction de ce qu'il juge être une anomalie. Entre temps une longue discussion est provoquée parmi les membres de l'Association pour en entendre les avis.
De la discussion jaillit la lumière, dit-on, et l'AGO entérine ou refuse : la démocratie est respectée. Le Président a fait son travail en agissant sur ce qu'il considérait comme un élément pouvant porter préjudice à l'ensemble des membres.
Lors de la chicane de TROYES, il était impératif que Henry Cordier agisse en Président responsable, et non en pantin dont quelques-uns espéraient tirer les ficelles avec des intentions plutôt sournoises.
Je suis toujours persuadé qu'une cabale était fomentée contre lui et son équipe, la faisant passer pour porteuse de toutes les calamités.
Je reconnais donc que sur ces points ma mémoire est défaillante, que je suis sujet à l'erreur, et, si l'on m'en fait la démonstration correcte, je corrige.
Trouve-moi un seul homme sur la Terre qui ne soit pas sujet à l'erreur.
Maintenant si tu ne veux plus discuter avec moi, cela te regarde. C'est toi qui a relancé la polémique. On est en droit de se demander pourquoi. Je ne souhaitais pas répondre, mais pour ne pas te faire oublier tu as remis ça en reprenant dans tes derniers posts le texte du début. Si ce n'est pas de la provocation, ça y ressemble.
À + car il y a un autre message auquel je répondrai quand je pourrai.
Paul-Louis AZAÏS
Par Gil
– le 07/09/11
à 14h39
Bonjour,
Qu'on prouve aux clubs ou ligues que les AG et CA sont tenus démocratiquement!
GT
Par raouldelhom
– le 08/09/11
à 10h39
Bonjour à tous, Je lis de temps en temps le forum et bien qu’il y ait parfois des choses à dire, Je trouve qu’il est dans l’ensemble très intéressant. Je sais que certains en ont assez de lire cette vieille histoire de Troyes, mais j’espère qu’ils me pardonneront de les ramener encore sur les même rengaines pour faire quelques petites remarques.
Jean Dalmeida … Plusieurs sanctions furent prononcées.Cela allait de l'avertissemnt à une suspension de cinq ans.Voici la liste des personnes sanctionnées:Almanza,Wouters,Vachet,Macaux,Bruiant,Delhom Raoul,Huet,
Feret Bruno,Mostovoy,Nicault Laurent,Cissé,Loncke,Delmotte G,Delmotte Th,Maggiore,
Blanpain R,Seine,Dehay,Arendo. Les "exclus" décidèrent alors de créer une autre
"fédération" , l'ANJD avec Thierry Delmotte comme Président.En 1996 à la fin du mandat d'Henri Cordier ,Paul Louis Azais se présenta pour la succession.Il y eut
un autre candidat Mr Victoria.L'election fut gagnée par Mr Victoria.La nouvelle
direction de la FFJD décida de renouer le dialogue avec l'ANJD ( réunion du
comité de direction de la FFJD à Cannes le 24/2/1997).Une convention fut élaborée par le président de la FFJD et le président de l'ANJD.Cette convention
pour être valide devait être approuvée par les assemblées générales des deux
associations.La convention prévoyait l'annulation de toutes les sanctions prises par le tandem Codier-Azais.Elle prévoyait également le retour à la tradition d'accueil des etrangers au championnat de France.Enfin elle prévoyait
la dissolution de l'ANJD et l'integration de ses membres à la FFJD
Raoul Delhom à Jean Dalméda - Je suis d’accord avec ce que vous avez écrit au sujet des étrangers au championnat de France et aussi sur la procédure de modification éventuelle du règlement les concernant. En revanche, je remarque que dans le texte ci-dessus, vous laissez entendre que j’étais membre de l’ANJD. Je tiens à préciser que je n’ai pas participé à la création de l’ANJD, que je n’ai jamais adhéré à cette association, ni disputé aucun de ses tournois. A mon avis je ne suis pas concerné par la convention des deux fédérations et je me considère toujours injustement sanctionné puisque c’est la première fois que je vois écrit qu’il y aurait eu une annulation de toutes les sanctions décidées à la suite du championnat de France à Troyes.Il me semble que les responsables de l’époque auraient dû communiquer à chaque bénéficiaire les modifications votées. Je dois reconnaitre que Henry Cordier, pendant toute la durée du conseil de discipline envoyait des avis, part écrit, directement aux menacés de sanction.
PLA …Un brouhaha se fait dans la salle et j'entends que certains ne voulaient pas mettre le badge, qu'ils étaient nombreux. Ils sortirent de la salle pour aller se consulter ailleurs. Il n'est pas nécessaire de répéter leurs noms : tu les as désignés. Ce qui m'a frappé à ce moment là, c'est la jeunesse des contestataires, autour de la vingtaine d'années, sauf deux ou trois dont Raoul Delhom qui mettait sa notoriété au service de la rébellion
RD à PLA Je te l’ai déjà dit, je ne me suis pas opposé au badge. Pourquoi ne veux-tu pas l’entendre ? Je l’ai porté pendant tout le championnat de France à Macon et je n’avais aucune raison de changer de comportement. Je n’ai participé à aucune rébellion préparée, Ce n’est qu’au moment de tirer au sort que je me suis aperçu que Zock n’était à sa place, devant moi ; et après mûre réflexion, j’ai décidé de ne pas tirer au sort. Je n’ai participé à aucun Brouhaha et je n’ai fait aucune déclaration publique sauf la brève interview pour la télévision où il n’a été question que des étrangers.
PLA …Tout à coup un quidam entre dans la salle et hurle : "C'est décidé : il n'y aura pas de Cht de France cette année ; il est annulé ! Nous n'y participerons pas." C'était Fabrice Maggiore, que je ne connaissais pas. Il parlait au nom de 14 personnes nommées dans ton réquisitoire
RD à PLA- Je ne sais pas ce que tu as entendu dire à Fabrice Maggiore, mais ce qui est certain, c’est qu’il ne parlait pas en mon nom. Puisque l’occasion m’en est offerte, je porte témoignage qu’il dit la vérité quand il déclare qu’il était favorable à la participation réservé aux seuls français au championnat de France en Nationale ; mais après un vote.
PLA …Appel des joueurs. Constitution des catégories. Les équipes étaient formées et les joueurs en place lorsque Raoul Delhom est entré dans la salle en disant du haut de ses exploits émérites de champion : "Bon ! on a changé d'idée ; on vient se faire inscrire pour le Cht!"
RD à PLA- Je sais très bien que personne ne peux s’inscrire après la constitution des séries. Les anciens se rappellent que j’ai participé à l’organisation des tirages au sort du championnat de France pendant plus de dix ans. Je ne comprends pas comment tu peux penser que je suis entré dans la salle en disant que je venais m’inscrire. De toute façon, les étrangers étant toujours exclus il n’était pas question que je change d’idée. Si tu n’es pas convaincu, tu peux toujours demander aux organisateurs si j’ai sollicité mon inscription.
Raoul Delhom
Par dalmeida
– le 08/09/11
à 11h10
Mon cher Raoul
Je suis ravi d'avoir de tes nouvelles.J'espère que tu te portes bien.Il est
exact que tous les "exclus" n'ont pas adhéré à l'ANJD.En ce qui concerne les sanctions (puisque je sais que ce sujet te tient à coeur) les choses sont claires.
La convention signée entre la FFJD et l'ANJD prévoit l'annulation de toutes
les sanctions.Cette convention a été approuvée par l'assemblée générale de la
FFJD (juin 1997) et par celle de l'ANJD.Cete convention prévoyait également
la dissolution de l'ANJD et l'intégration de ses membres à la FFJD.Cela a été
effectif dès l'été 1997 puisque Th.Delmotte et ses copains ont participé au
championnat de France de 1997 à Parthenay.La sanction qui te touchait a donc été
annulée depuis juin 1997.Il est exact que les responsables de l'époque auraient
dû t'en informer.
amicalement
Jean D'Almeida
Par PLA
– le 08/09/11
à 17h17
Bonjour Jean,
Je ne me "souviens" pas qu'il y ait eu des exclusions.
Le terme exclus est excessif.
Les agités s'étaient retirés d'eux-mêmes et ensuite ont été sanctionnés sans exclusion.
À+
Courtoisement
Paul-Louis AZAÏS
Par PLA
– le 08/09/11
à 18h18
Cher Raoul Delhom,
Il ne faut pas oublier que c'était la pagaille : entrées et sorties mouvementées et bruyantes chaque fois. Je ne connaissais pas tous les "belligérants" ni leurs états d'âme.
Je savais que tu existais par tes titres, et cela m'a surpris : c'est pourquoi j'ai fait attention à ta personne, et ton intervention est restée très nette. Tu souhaitais faire le Cht de France, mais la confusion était telle que tu n'as pas été compris, et le temps passait. De plus tu pouvais passer pour le porte-parole des excités ; tu n'as pas été perçu comme une victime de leurs manigances.
La sanction est tombée sur la liste de ceux qui n'avaient pas voulu signer la feuille, ce qui devait provoquer un amalgame inévitable des indécis et des déterminés à tout ravager. Cette cacophonie avait fait de toi un étranger, comme d'autres qui se sont laissés prendre !!!
Par ailleurs, le problème de étrangers est d'une autre nature car F Maggiore est contre leur participation au Championnat de France ; Jean est pour d'après ce que j'ai pu comprendre ; A. Cordier est contre, et les dissensions des joueurs sont telles sur ce sujet que l'on voit bien qu'un accord n'interviendra qu'avec la venue des coquecigrues, ce qui risque de prolonger indéfiniment les suites de l'affaire de TROYES.
Tous ceci est bien triste ; je l'ai écrit ailleurs : la FFJD perdait l'un de ses champions les plus prestigieux d'alors. Ce dut être pour toi unr réelle souffrance.
Mon vœu le plus cher actuellement puisque tu es intervenu sur cette rubrique, et je pense que Jean n'y contredira pas, est que tu nous reviennes en pardonnant nos erreurs à ton égard et que tu retrouves ta place en Nationale car je sais que tu suis les tournois.
Je suis certain que tous t'y encourageront et s'en réjouiront.
Bien amicalement
Paul-Louis AZAÏS