Coup du fondeur de cloche
N.Brochu (1939)
Trait aux blancs
- 50-44, 38-33 (49x46), 33x31, 47-41°, 48x37°+
WB.Monsma (1939)
Trait aux blancs
- 49-43, 43-39, 41-36, 36x38 (41-36), 38-32, 42x31, 47-41, 48x37+
M.Douwes (Het Vrije Volk)
Trait aux blancs
- 31-27, 35-30, 49x38, 27-21, 32x1 (49x46), 1x31+
R.Fourgous (L'Effort 1983)
Trait aux blancs
- 44-39, 39-34, 43x21, 35-30, 50x19, 42-37+
Trait aux blancs
- 32-27, 27-21, 31x2 (44-49), 2x4 (49x46), 4x31 (46x5), 31-37 (5x46), 36-31+
PH.Idzerda (HD 1930, arrangement)
Trait aux blancs
- 34-29, 28-23, 38-33, 32x5 (22-28, 34-40, 24-29, 13-18), 23x1 (2-7), 1x21, 31-27, 37-32 (21x49), 42-38, 36-31+
D.deRuiter (Vrienden 1942)
Trait aux blancs
- 45-40, 40-35, 35x44, 44-39, 49x9, 15x4 (16-21), 4x1, 1-29, 29-47 (41-46), 47-41, 48x37+
J.vandenBoogaard (De Tijd 1958)
Trait aux blancs
- 36-31, 38x7 (47x33), 43-38, 25-20, 7-2, 2x33, 44-49°, 48x39°+
Personnellement, je distingue le coup du fondeur de cloche par son mécanisme spécifique du double-verrou et non par sa position de mat uniquement dans la grande diagonale. Comme le montre le dernier problème, ce même mécanisme peut-être effectué dans d'autres situations sans grande différence. Il en est de même pour le coup du scorpion mais non pour le deux pôles qui n'est qu'une position de mat unique.
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