Effort et autres remarques

Par laurent NICAULT – le 21/11/08 à 22h40Informations

J'ai communiqué sur la revue fédérale et présenté comment je voyais la suite. Je remercie les personnes qui ont exprimé leur reconnaissance, même si ce n'était pas le but de mon message. Je ne pense pas qu'il y ait de solution providentielle pour l'Effort, mais un projet collectif et viable. Je viens de recevoir le 428 de l'imprimeur. Il me reste à vous le transmettre. Je vais ensuite avoir le temps de former un groupe de travail pour tenter de mettre en place une belle revue, avec tous ceux qui le souhaitent (je pense notamment, en plus des collaborateurs actuels, à Véronique, qui s'était proposée comme correspondante, et à Raphaël, qui a manifesté lors de l'assemblée générale un attachement très fort à notre organe historique).

Un petit mot de Florence:
Bonjour à vous tous,
Un peu de tolérance, d’humilité, de solidarité et de douceur (même quand l’interlocuteur semble violent ou provocateur) serait peut-être, je dis bien peut-être de ma propre lucarne, plus constructif ! N’oubliez pas que nous partageons la même passion et que les outils que nous utilisons pour nous faire plaisir ont le droit d’être différents.
La diversité (mot très à la mode en ce moment) est une notion respectable qui doit nous réunir pour échanger. Je n’écris plus dans le forum mais je vous lis, et je suis fort perplexe…


Nous pensons tous les deux qu'il y a parfois une confusion (dans laquelle nous sommes tombés nous aussi) entre joute orale et écrite. L'immédiateté de l'outil internet crée de sentiment d'un échange oral là ou des écrits restent.

Amicalement
Florence et Laurent

Réponses

Par Raphaël Martens – le 21/11/08 à 23h48

Florence et Laurent,

Quand les passions se rejouent il y a forcement admiration, c’est vraie que je suis attaché à notre revue. Hélas les responsables de la FFJD n’ont jamais su s’exprimer en faveur d’une périodique nouvelle génération.

Après l’assemblé général à Lannion j’avais le sentiment qu’il était impossible de parler ou d’entreprendre une reconstruction positive de notre organe. C’est bien là que c’est très douloureux car, en principe, il ne faut jamais oublier que notre organe appartient en principe à tous les membres de la FFJD.

Puis plus grave encore c’est que la survie de notre mensuelle est étroitement lie à une vulgaire histoire de sous, laissons à part une mauvais gestion de certains aspects (après tout ce ne sont que des points mineures, les points positives de sa parution doivent largement l’emporter).

Désabusé, fatigué, mon courage s’est éloigné de la succession de la rédaction, le fait que je cris au secours par les mots d’un fichier *.pdf à télécharger, souligne, en gras, ma douleur.

Heureusement je ne suis pas le seul, mais comment mobiliser d’autres damistes ?

Je vous remercie de trouver la subtilité dans les mots et d’annoncer comme un cadeau de Noël le (pour l’instant) dernier numéro de l’Effort.

Mes sincères amitiés
Raphaël