Demande de radiation
Par Gil
– le 02/11/10
à 23h13
– Divers
"Après tout, ce n'est qu'un jeu!" fut la phrase prononcée à l'AG d'Ax les Thermes en 1999 par un simple participant, pour tenter de conclure sur la tricherie avérée (jouer en Coupe de France sans licence) et non sanctionnée du vice-président de la FFJD de l'époque.
L'auteur de cette phrase : JDA!
Puis quand on sait :
-les passe-droit qu'il a octroyé à l'un de ses joueurs en 2006 et 2007,
- sa volonté de financer la participation de son club à la Coupe d'Europe 2009 par la FFJD
- la couverture du coup de Pékin en 2008
- les non-réponses et insultes en retour à de légitimes questions
- la stigmatisation, la division et la dramatisation (coup de la dissolution)
- le goût du pouvoir (monocratie) pour la jouissance de dominer
On se lasse après 15 ans de services aux autres (dont 13 ans sous HM + JDA), de voir qu'en haut, on souhaite rester une très petite fédération.
Je demande aux Administrateurs de la FFJD de me radier par solidarité envers les autres radiés et tous ceux qui ont été heurtés, dégoûtés par l'attitude de JDA (j'avais pris ma licence 2010-2011 et amené un nouveau joueur, espérant une autre présidence).
Merci à tous ceux qui ont soutenu Artur Yussupov et qui m'ont témoigné de leur sympathie en juillet 2009 lors du décès de mon neveu.
Gilles Taillandier
Désormais ex-président (co-fondateur en 2000) de la ligue Bourgogne-Champagne
Promoteur du JD sur France3, France Info, France Bleu, le Bien Public, Carrefour, lors des Nuits du Sport, ... (et auprès de l'Armée Française, ce qui avait permis à Arnaud Cordier d'effectuer son service national en tant que sportif de haut niveau à Dijon-Longvic)
Organisateur, notamment, de 2 phases finales de Coupe de France, 3 chp de France Jeunes (dont l'unique Coupe de France Jeunes) et du 1er chp de France SR
Formateur de dizaines de damistes.
Apporteur de plus de 10 000 € de subventions publiques et bons d'achats.
"Fournisseur" de 9 à 10 joueurs par tournoi interrégional dans 6 régions de 2000 à 2005.
Etc (ouf : quel manque de modestie, non?)
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Le mot du président