Bonjour,
Sous l'apparence d'un question simple se cache toute la difficulté de la propagation de notre jeu.
Sa simplicité permet d'apprendre rapidement les déplacements des pièces puis des savoir prendre sans ce tromper.
Le but est d'implanter la notion de plaisir dans la reflexion de jeu.
L'enfant accepte facilement la défaite si la notion du savoir perdre est intégré dans son savoir vivre.
A partir de là, si vous entraîner un jeune vous n'êtes pas son adversaire mais son complice. Il faut donc partager son savoir en l'aidant. Pour cela, l'on peut utiliser des remarques. Ici, si tu joue un pion, (me donne un pion, sacrifie une pièce), tu va pouvoir en prendre plusieurs.
C'est à dire que l'on doit volontairement proposer de temps en temps des combinaisions simples.
Attention, si l'on peut utiliser un vocabulaire simple , il faut souvent éviter les vocabulaires enfantion tu mange ou bouffe le pion sauf à vouloir rire (création d'une complicité), il me semble important d'user d'un vocabulaire précis et utiliser les termes la prise est obligatoire.
Il n'y a pas de règles 100% figer dans la pierre, l'adulte se doit de se mettre à la hauteur de l'enfant tout en l'amenant à se hisser plus haut.
Les jeunes apprennent vite. il faut aussi fixer des objectifs (mesurable dans le temps et quantifiable).
Dans le cas présenté par Gérard, l'enfant en une semaine peut-elle envisagée d'apprendre un peu d'astuce pour pouvoir jouer contre ses parents et pouvoir gagner la partie.
L'objectif battre un adulte est-il réaliste ou pas?
L'enfant sais (le suppose) qu'il est moins fort qu'un adulte. L'objectif de perdre un adulte peut apparaitre comme une cible impossible sur l'instant mais dans 6 mois ou un an.....
Si l'enfant prend du plaisir (jeu), il continuera. il doit pouvoir joueur contre un adversaire ( la notion de compétition est à faire découvrir peu à peu).
L'acquisition du goût est incontestablement pour l'enseigement l'objectif à avoir. C'est pourquoi, un jeune qui se passionne est facile à entraîner.
J'ai noté que le goût viens aussi sans avoir besoin de faire une partie.
En mettant des petits exercices, combinaisons (tactique) abordable, l'enfant mesure rapidement son niveau. Et si dans une partie, on lui laisse une possibilité de mettre son nouveau savoir en jeu. Il passe à l'application.
Les notions de bases (
Donne un pion pour en prendre deux (terminologie, trèfle flêche et flêche d'attaque).

Trait aux blancs
Si l'on attaque un pion, j'utilise le temps pour gliser et en prendre deux.

Trait aux blancs
Les noirs on attaqué le pion 27
Pour les deux exemples, il prévoir plein de petit excercice équivalent
avec peut de pièces et avec beaucoup.
Faut-il chercher à faire apprendre la notation?
Oui sans que cela soit une contrainte ou priorité.
Par contre Il faut apprendre à utiliser les numéros des cases avec un damier numéroté pour amener petit à petit à voir l'interêt du repérage.
Et l'apprentissage doit être un jeu avant d'être une contrainte.
A+ Jacky Bruiant