Jeu de dames et Echecs
Par JackyBruiant
– le 10/10/10
à 20h45
– Divers
Bonjour,
Le but n'est pas de faire un comparatif entre les disciplines pour savoir qui le meilleur etc....
Juste vous livrer ce que j'ai lu dans la revue Echecs et Mat 'N017 Février 2008'
L'importance des Chiffres......
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Le Top des sports
uel est le sport le plus populaire ? Bien difficile de répondre
à cette question. Notamment en raison de la diversité
des critères possibles. Faut-il prendre en compte le nombre
de pratiquants ou le nombre de licenciés ? Ou encore le
nombre de fédérations affiliées ? Voire même celui qui rapporte
le plus d’argent ou celui qui est le plus regardé à la
TV ? Il est évident que le Football semble se détacher dans
bon nombre de classements. Mais il est impossible de déterminer
avec précision le nombre de gamins qui peuvent taper
dans un ballon dans la rue.
En tout cas, plusieurs disciplines se sont approprié le titre de
plus populaire, ou à tout le moins la 2e place derrière le roi
foot. Et ce, en avançant parfois des chiffres bien farfelus qui
sont le plus souvent invérifiables.
En 2002, une étude a été faite en fonction de chiffres fournis
par chaque fédération internationale. On peut estimer
que certaines se sont probablement un peu grossies, notamment
le Volley-ball qui se compterait près d’un milliard de
pratiquants, soit 4 fois plus que le Foot, qui lui, n’aurait communiqué
que le nombre de ses licenciés.
Quoi qu’il en soit, l’International Mind Sports Association,
avec ses 500 millions de joueurs déclarés (300 pour les Échecs,
100 pour le Bridge, 60 pour le Go et 40 pour les Dames), se
situe parmi les plus grosses fédérations. Et si on prend en
compte le nombre de fédérations nationales affiliées, une
donnée cette fois qui n’est plus contestable puisque vérifiée
par le CIO, la FIDE, avec 161 fédérations dans le monde
entier, se situe à une très honorable 7e place derrière le
Volley, le Basket, le Foot, le Judo, le Tennis de table et le
Tennis. L’universalité du jeu d’échecs, personne n’en a jamais
douté.
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Conclusion, Licencié et enregistré nos pratiquant permet d'entre dans un top.
Dans ce numéro ont lit aussi
Fédération Délégataire '( Reconnaissance Sport)'
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Fédération délégataire :
ça avance ! C’était un des engagements de campagne de
Jean-Claude Moingt. Deux mois avant l’issue de son premier
mandat, l’affaire pourrait peut-être se concrétiser
favorablement.
Bernard Laporte, le Secrétaire d’Etat aux sports, rendra sa décision
fin janvier quant à l’obtention du statut de fédération délégataire
pour la FFE.
Le dossier a été déposé le 9 décembre au Ministère et s’articulait autour de deux axes principaux.
La FFE, d’une part, exerce déjà de fait beaucoup des prérogatives d’une
fédération délégataire, comme l’organisation de championnats nationaux
ou encore la sélection d’équipes de France. Par ailleurs, elle présente un
certain nombre de caractéristiques spécifiques, qui sont autant d’atouts
potentiels. De nombreux parlementaires et personnalités politiques de
tout bord soutiennent le dossier de la FFE.
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Voilà pour être reconnu sport notre fédération doit se structurer dans ce but et mettre dans sa poche quelques parlementaires.
Autres articles sur les Echecs sont un sports pourquoi?
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Mais si on parle d’Intellympiads ou d’Olympiades
de l’esprit, peut-on pour autant parler de sport ?
« Le sport est une activité physique, le plus souvent
de plein air et nécessitant généralement un entraînement,
qui s'exerce sous forme de jeu ou de compétition, suivant
des règles déterminées », nous rappelle le Trésor de la
Langue Française.
Des règles et des compétitions ? Soit. Un entraînement ?
Evidemment. Plein air ? Ça commence à coincer. Même si
rien n’empêche un tournoi d’échecs de se disputer à l’extérieur.
On peut donner l’exemple du célèbre tournoi de
Linares, le Wimbledon des Échecs, qui s’était déroulé une
année sur la pelouse d’un terrain de foot. Mais Viktor
Korchnoï, un des participants, avait protesté en disant qu’il
avait froid. Quant à l’activité physique ? Des études ont
montré que le pouls d’un joueur d’échecs se situait généralement
entre 110 et 120 pulsations par minute et qu’il pouvait
même atteindre 170 en zeitnot. L’équivalent d’un
sprint.
Pas suffisant toutefois pour convaincre totalement le CIO,
qui a certes officiellement reconnu la Fédération internationales
des Échecs (FIDE), ainsi que celle du Bridge
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Moi je propose dans un avenir proche de pratiquer les parties de dames
debout et de répendre le principe de la compétition "Flowers".
Vous savez cette nouvelle épreuve mis en place par les spécialistes de l'innovation dans le Nord WATTRELOS.
Je vous assure que debout en simultanée, cela transpire .....
Et bien d'autres sujets sur l'arbitrage, l'AG etc. sont à lire dans ce numéro 17 téléchargeable en PDF.
Est-il gratuit, je crois.
Bon il faut faire l'effort de l'imprimer comme quoi un EFFORT en PDF c'est possible...
http://www.echecs.asso.fr/infosffe.aspx
Réponses
(7)
Par REVEST MICHEL
– le 11/10/10
à 09h02
Cher Jacky
40 millions de joueurs de dames, j'en reste BABA. mais comme il est dit dans cet article on peut dire n'importe quoi à partir du moment où ce chiffre est invérifiable. Déjà chez moi ma maman jouait au jeu de dames à 100 ans, ma chérie apprend et joue, sa fille en a parlé à son cousin qui en a parlé à son frère. Celà commence à faire du nombre.
Quand au C.I.O il suffit de payer la cotisation et te voilà officiellement encarté par cette multinationale. Alors il nous reste plus qu'à trouver le ou la mécène, ensuite faire le dossier sera un jeu d'enfant.
Comme je l'ai dit dans mes dernières contributions, d'abord une équipe dirigeante forte, un plan d'attaque sur la présentation de projets et avec quel ministère. Ensuite effectivement voir avec tous les députés dans toutes les régions pour supporter nos demandes.
Comme toujours celà demandera un investissement avec un besoin évident de relais dans tous les départements.
Je doute sur le nombre de Présidents de clubs qui voudront s'investir pour servir de relais.
Allez soyons optimistes et Vive le Jeu de Dames.
Amitiés et remerciements pour ton investissement. Bonne semaine
Par JackyBruiant
– le 11/10/10
à 13h17
Cette fois l'extrait est tiré du Forum
Commission des équivalences / Diplômes fédéraux par Etienne Mensch, le 04-07-2010 à 17:18:21
Il y a environ 2 ans, une commission des équivalences a été crée pour étudier des demandes de candidats au DAFFE / DEFFE.
Cette commission est composée de 8 membres (Président de la FFE, Directeur Technique, Délégué à la formation, Responsable de la formation - salarié-, Directeur des Jeunes, Représentant des entraineurs, des animateurs & Représentante des féminines). Elle se réunie une fois par an.
Son rôle est d'étudier les demandes des candidats afin de voir si certains (de par leur expérience) peuvent obtenir une validation de leurs acquis. Il est ainsi possible d'obtenir certains aménagements pour l'obtention d'un diplôme fédéral, comme par exemple la possibilité d'être exempté d'un stage pratique, etc...
Pour répondre à une intervention, il faut savoir que les diplômes ne sont plus "donnés". Par exemple, le GMI Arnaud Hauchard qui a été entraineur de l'équipe de France des jeunes à multiple reprise, est l'entraineur personnel de MVL... a eu son diplôme d'entraîneur après avoir effectué gratuitement un "stage de 6 heures" dans un club formateur. C'est un cas extrème (on aurait pu directement donner le diplôme à Arnaud), mais ce stage a aussi permi de valoriser un club "label formateur".
Pour effectuer une demande un candidat doit envoyer son CV + lettre de motivation (et tout autres documents pouvant appuyer sa demande : lettres de recommendations, etc...)
Autre point : le fait d'obtenir un DIFFE, un DAFFE ou un DEFFE ne va pas forcément révolutionner votre façon d'animer ou d'entraîner, mais...
1- c'est une reconnaissance officielle de la FFE;
2- c'est un diplôme que l'on peut faire valoir au niveau des institutionnels (pour animer au sein d'établissements scolaires, il est vivement recommandé d'avoir au minimum un DAFFE... certains établissements scolaires exigent d'ailleur sce diplôme);
3- je reste persuadé que suivre une formation fédérale est toujours profitable. Le partage d'expérience des intervenants, les discussions entre stagiaires sont des "moments forts". On ne devrait pas envisager la formation comme une contrainte, mais plus comme un moment enrichissant.
Le programme des diplômes fédéraux a d'ailleurs été remanié : plus de pédagogie, des stages pratiques (pour les DAFFE & les DEFFE)...
RDV sur le site fédéral à la rubrique formation
DAFFE Diplone d'animateur et DEFFE diplone d'entraineur sont délivrés à l'issue d'une formation et d'un examen. Ils sont délivrés par la FFE et sont en-dessous d'un BE .
Ce qui n'est pas dit dans le texte c'est qu'un DEFFE ne permet pas de toucher un salaire tandis que le BE oui.
Et si l'on regarde les dates dans le message, il y a 2ans certaines attribution était délivrés sans avoir besoin de passer le diplome.
Nous perdons du terrain sur les echecs, et pourtant certains disent ces diplômes sans utilités
Ca fait bien d'avoir un bout de papier par Yves4, le 22-07-2010 à 22:06:41
et lorsqu'on produit soi-même ce bout de papier, on se sent d'autant plus important. Et ce n'est pas valable que pour les échecs .... De toute façon, seuls les diplômes d'état sont reconnus en France et il n'est pas d'actualité d'en avoir un pour les échecs. Ce bout de papier n'a donc aucune valeur pour l'état français.
http://www.france-echecs.com/index.php?mode=showComment&art=20100702184437141
Par 132465
– le 11/10/10
à 15h54
salut jacky
j'ai pas compris ou tu veux en venir avec ton dernier mail concernant les diplome
peux tu être plus explicite
à plus jacky
Par JackyBruiant
– le 11/10/10
à 21h44
Bonjour Jacky,
La fédération des échecs n'a pas attendu d'obtenir la délégation (reconnaissance sport) pour mettre en place une structure visant à diplomer des entraîneurs.
Et actuellement, elle n'est pas à faire intégrée la discipline des echecs comme une partie technique de l'obtention d'un BE (BEE1 ou 2 et 3) qui sont des diplômes d'états permettant d'avoir un salaire pour la tâche d'entraînement).
La fédération des echecs a donc tavaillé par étape.
Le BAFFE étant au départ accessible sans passer un examen (exemple pour les MF o, MI ou GMI), et aujourd'hui l'ensemble des candidats sont soumis à un examen.
Cependant un bout de papier reste un bout de papier, et certaine personne n'obtientrons jamais le titre alors qu'ils auront des années de pratiques et de bon résultat.
L'intérêt et d'avoir un document officiel qui acrrédite son porteur devant d'autres instance (comme le corps enseignants) permettant d'avaliser un savoir faire.
Pour moi, si nous avions des dépenses à faire prioritaire serait se payer un cadre (BEE2) qui organise une structure d'entraîneur.
Pour cela ne pas hésiter d'attribuer au bénévole travaillant dans le domaine le diplôme qui les aidera dans leurs démarches d'obtentions de subvention et introduction au milieur Scolaire.
Maintenant, nous pouvons aussi sponsorisé un damiste à passer un BEE en echange d'un implication dans la vie fédérale.
La compétition n'est plus de Loisir. Elle entre dans le domaine du sport.
Amitiès Jacky,
P.S: j'avais déjà evoqué le sujet en proposant la mise en place de niveau animateur de club, entraineur régional, puis fédéral.
J'ai eu un très grand espoir avec l'implication de Laurent Nicault et puis la vie damiste en à decider autrement.
Par damieryonnais
– le 11/10/10
à 22h39
C'est presque mot pour mot ce que j'ai évoqué en AG de la ligue centre ouest en parlant de la raison du succès des échecs en milieu scolaire et des difficultés que l'on rencontre (nous) parfois !
Daniel.
Par 132465
– le 12/10/10
à 00h52
salut jacky et le damier lyonnais
je comprend mieux de ce dont il s'agit , et je pense que creer des diplomes ou autres certificats qui labelisent un enseignement est une tres tres bonne chose
mais je ne pense pas que notre difficulté à intervenir dans les ecoles vienne de ce manque de diplomé
sur tls point de diplome mais un sacré label l'agrement jeunesse et education^populaire , il faut s'avoir que un tel agrement ( je l'avais signalé à jean dans un mail, que nous utilisions tres mal cet agrement )c'est une caution donné par l'etat garantissant nos competences et capacites à intervenir aux pres des jeunes, cette garantie est un sesame pour s' ouvrir les portes de l'education nationale, pour obtenir des subventions pour discuter avec les pouvoirs public avec une certaine prestence,
donc oui pour structurer par des certificats un enseignement , mais surtout eouvrons pour que les clubs soient agrees
pour finir sur l'enseignement , je suis en relation depuis quelques temps avec le president du club d'echec de toulouse qui entre parenthese est tres demandeur d'un travail avec nous c-à-d avec le cdt
il m'expliquait qu'ils avaient eu pas mal de salaries à une epoque mais que cela ne durait jamais bien lontemps , à la question pourquoi, il m'a repondu que les joueurs d'echecs qui s'orientaient dans cette voie etaient des joueurs qui auraient voulu gagner leur vie avec le jeu n'y arrivant pas ils se tournaient vers l'enseignement dans les ecoles mais pour eux cet enseignement etait concu comme un enseignement pour former des competiteurs cela finissait toujours au clach
je crois qu'il faut bien distinguer l'enseignement en milieu scolaire de celui des clubs ,
je pense et suis convaincu que les questions qui touchent à cet aspect des choses sont tres complexes, et que un debat devrait être fais au sein de la fd , pour ensuite en tirer les grandes lignes et y voir plus clair cela nous aiderait ensuite à creer des diplomes plus conformes à ce que l'on veut faire
je pense qu'il nous manque de mettre à plat tout un tas de chose , nous n'avons aucune politique à moyen et long terme , aucune vision structurante, aucun schema evolutif c'est dommage
bon il est tard
cordialement jacky
Par JackyBruiant
– le 12/10/10
à 14h33
Bonjour,
Oui, Jacky il est primodiale de faire la distinction entre l'intervenant en milieu scolaire et l'entraîneur en club (même si des choses communes existent).
Le premier (scolaire) est de faire découvrir un jeu, un loisir et toutes les qualités qui s'y attachent tant sur le point de l'éveil que de l'aspect pédagogique.
Le second (entraineurs) se doit d'avoir deux axes
-Le loisirs plaisirs (amour du jeu)
-La formation de compétiteur (élites)
La tâche ne peut pas être fait en un jour, elle demande un programme au moins sur 10ans (avec des points intermédiare).
Et dans un premier temps, il faut reconnaitre les gens qui oeuvent déjà et se concerter avec elles.
Quant à l'agréement que tu évoque c'est vrai il faut mettre nos statuts de clubs en conformité pour les obtenir.
Pour cela dans les autres fédérations est décerné des labels clubs pour inciter à l'excellence ( critères Arbitre, entraineur, installation, compétiteur, résultat, agréements).